TV/Journaux/Internet...

Je trouve qu'on voit pas assez Amélie en dehors de la période de RG et de l'Open de Paris à la TV.
La dernière fois dans les journaux c'était dans Voici Peut mieux faire

je suis d'accord avec toi tenniskid,on voyait plus Amélie a ses début...Dommage

Ouais ! J'ai vu un reportage cool une fois mais ça fait très longtemps .. J'aimais beaucoup l'ambiance de ses matches également dans les débuts. Le public était déchaîné Pendant le dernier Roland, je ne sais pas où exactement étaient les supporters moa

Je crois qu'Amélie se protége tellement qu'elle doit perdre des fans en route...

l'Equipe de ce 10 août 04

MONTRÉAL (WTA Tour, dur)

A LA CHASSE A L'AS


Désormais numéro 2 mondiale, Amélie Mauresmo rêve plus que jamais de la première place à travers de grandes victoires.

MONTRÉAL –de notre envoyé spécial

« LOÏC, ON SE RAPPROCHE. » En s’adressant en ces termes à son coach Loïc Courteau, dimanche au micro du stade Jarry de Montréal, Amélie Mauresmo a pris conscience que l’un des objectifs qu’elle avait dévoilé à la fin de la saison 2001 – s’emparer un jour de la première place mondiale – était plus que jamais à sa portée. Sur les talons de Justine Henin, la Française a de bonnes chances d’atteindre son but dans les prochaines semaines, même si Anastasia Myskina et Lindsay Davenport ont également de solides arguments dans cette course poursuite.

Mauresmo veut garder les pieds sur terre : c’est en gagnant des matches, en pratiquant son meilleur tennis dans les plus gros tournois, que la récompense viendra naturellement. Après son séjour québécois, il n’était donc pas question de calculs, simplement de savourer, en tirant les enseignements de sa victoire, en jetant un œil sur l’avenir proche et en rêvant tout haut d’un titre aux Jeux ou à l’US Open, couronné par cette place royale qui lui tend les bras.
UN CONTRAT REMPLI. – Tête de série no 2 à Montréal, Amélie Mauresmo était pourtant la mieux classée du tableau, le forfait de dernière minute de Serena Williams (tête de série no 1) ayant promu Anastasia Myskina de la no 3 à la no 1, afin de ne pas déséquilibrer le tableau qui avait été tiré avant l’annonce du retrait de l’Américaine. La Française s’est imposée sans affronter une seule joueuse du top 10, la mieux classée de ses adversaires étant la Russe Zvonareva, 14e mondiale, mais qui fait son apparition dans l’élite cette semaine à la neuvième place. À ceux qui feraient la fine bouche, Courteau répond : « L’essentiel c’est de gagner des tournois, savoir qui Amélie a battu, on s’en fiche. Le principal pour elle, c’est qu’elle arrive à gagner ces gros tournois car son but suprême, qui est de remporter un Grand Chelem, passe par ces victoires. Ma satisfaction, c’est qu’elle soit arrivée, sans trop de repères ni de confiance après une défaite contre Molik à San Diego, à se sortir d’un mauvais pas pour finalement jouer son meilleur tennis. Chaque été elle a un peu de mal à se remettre dedans après l’enchaînement terre battue, Roland-Garros, Wimbledon, elle se pose beaucoup de questions ; là pour une fois ça n’a duré qu’une semaine et derrière elle a gagné un « Tier 1 » (meilleure dotation après les Grands Chelems). »Le contrat a donc été rempli. « Je ne me disais pas que je n’avais pas le droit à l’erreur, disait l’intéressée dimanche avant de monter dans l’avion. Je sais que ces titres-là sont difficiles à gagner, ce sont de gros tournois. Quand on voit mes deux premiers matches, où je n’ai pas très bien joué, ou mon quart contre une Sprem, qui a battu Venus à Wimbledon, et qui peut battre n’importe qui, on se rend compte que ce n’est pas facile. Surtout que j’arrivais sur une défaite à San Diego pas évidente pour la confiance. J’avais besoin de repères, je me suis accrochée et puis c’est bien revenu. » L’ART ET LA MANIÈRE. – « Ce que je trouve génial aujourd’hui, se réjouit Courteau, c’est qu’elle soit devenue deuxième mondiale en gagnant le tournoi et pas en faisant un quart simplement, une demie ou même une finale. Il faut aller chercher ça en gagnant et pas parce que les autres perdent des points. »
En écho, l’intéressée souhaite qu’il en aille de même pour la première place qui se dessine à l’horizon : « Pas de calculs. Je veux vraiment y arriver sur le terrain. En plus, il y a Myskina qui n’est quand même pas loin, et Davenport qui ne joue pas aux Jeux mais sera à New Haven ; on est donc toutes dans un mouchoir. » Courteau ajoute : « L’année dernière, Davenport n’avait pratiquement pas joué après l’US Open (une brève apparition à Filderstadt), donc tous les tournois qu’elle disputera, ce sera du bonus alors qu’Amélie aura des points à défendre (victoire à Philadelphie, finales du Masters et à Moscou). Donc quoi qu’il arrive aujourd’hui, elle n’est pas favorite pour la première place à la fin d’année. Si elle n’y est qu’une semaine, ce sera génial aussi. »
OBJECTIF GRAND CHELEM. – Même si la numéro 1 Française va désormais avoir la tête aux Jeux Olympiques d’Athènes, elle ne perd pas de vue qu’une victoire en Grand Chelem demeure sa grande priorité. Pour l’année 2004, il ne reste plus que l’US Open (30 août-12 septembre) : « Moi, ce qui m’intéresse, ce sont ces objectifs-là : on parle de la place de numéro 1 parce que ça se rapproche, mais il ne faut pas oublier non plus que j’ai quand même fait deux quarts (Open d’Australie et Roland-Garros) et une demie (Wimbledon) en Grand Chelem cette année. »
LE PHYSIQUE ET LE MENTAL. – La conquête de la première place mondiale passera par une fin de saison sans soucis sur le plan physique. De ce point de vue, la semaine montréalaise de Mauresmo a été plus que satisfaisante. « Physiquement, il faut toujours être attentif avec Amélie, prévient Courteau. Elle n’a eu aucun pépin, ni au dos, ni aux jambes. Elle n’est pas fatiguée alors que pour une fois elle a joué simple et double, en allant en demi-finale avec Mary (Pierce). Alors, avant que sa joueuse ne s’envole pour Athènes, Loïc Courteau (qui sera en vacances pendant les Jeux) glissera dans son oreille quelques conseils : « Qu’elle ne se mette pas de pression parce qu’elle vient de gagner ici. Qu’elle continue à prendre du plaisir, à ne pas jouer par rapport à l’événement ou la possibilité d’être numéro 1. Alors, elle gagnera de plus en plus de matches et ça viendra… » ROMAIN LEFEBVRE

Merci momo pour cet article de l'équipe

Ca fait du bien de sentir Amélie en forme


Aphro

l'Equipe de ce 9.08.04

MONTRÉAL (WTA Tour, dur)

LA DERNIERE MARCHE
Impériale contre Likhovtseva (6-1, 6-0), Amélie Mauresmo n’a plus qu’une place à gagner pour devenir numéro 1 mondiale.

de notre envoyé spécial


AUJOURD’HUI, à l’heure où l’ordinateur de la WTA imprimera son tout nouveau classement, il ne restera plus à Amélie Mauresmo qu’une marche, une seule, à gravir pour devenir la quatorzième joueuse à occuper le premier rang mondial depuis l’instauration d’un classement informatisé, le 3 novembre 1975.

Sa qualification samedi pour la finale de l’Open du Canada, combinée à la défaite d’Anastasia Myskina le soir même contre Elena Likhovtseva (6-3, 5-7, 6-4), lui assurait de devenir la nouvelle dauphine de Justine Henin, à compter de ce 9 août 2004, avant même le résultat de la finale.

En écrasant hier (6-1, 6-0) la dernière survivante des neuf Russes figurant initialement dans le tableau, la Française a confirmé qu’elle méritait son statut à venir de no2 mondiale, ce qu’aucun ni aucune de ses compatriotes n’avait accompli à ce jour… Certes, à Montréal, il n’y avait ni les Williams, ni Henin, ni Clijsters, ni même Davenport, la forte femme du début d’été avec ses trois tournois gagnés consécutivement, mais Mauresmo, la mieux classée du tableau, n’a pas failli à sa mission. Elle a surtout produit un tennis de plus en plus solide et constant au fil des matches, après deux premiers tours hésitants.

La voilà désormais en route vers Athènes où elle représentera une réelle chance de médaille pour la France, à partir du 15 août. Mais puisque des points de classement seront finalement distribués à l’occasion du tournoi olympique, elle ira également en Grèce avec le souci de faire le plein de ces précieux points pour tenter de ravir la première place mondiale à Justine Henin avant la fin de l’été.

À l’heure actuelle, les savants calculs des arithméticiens de la WTA laissent entrevoir une infime probabilité mathématique que la Française atteigne son but au lendemain des Jeux. Il faudrait cependant une conjonction de facteurs extrêmement favorables sur lesquels Mauresmo et son entourage ne devront pas compter, d’autant que Justine Henin doit effectuer son retour à la compétition à l’occasion de ce tournoi.


« J’ai christement

bien joué ! »


Plus sûrement, la Française peut légitimement espérer gravir la dernière marche à l’US Open, où la Belge est tenante du titre, alors qu’elle n’a que les points d’un quart de finale à défendre.

Elle aura toutefois en Lindsay Davenport et Anastasia Myskina deux concurrentes à ne pas sous-estimer, sans oublier Henin elle-même, dont on ignore encore l’état de forme actuel, mais qui ne compte sûrement pas abandonner le pouvoir sans résistance.

Hier, Amélie Mauresmo avait surtout en tête de rééditer sa performance de 2002, quand elle s’était imposée pour la première fois à Montréal, après avoir battu Jennifer Capriati en finale. Cette fois, l’identité de son adversaire était moins prestigieuse mais la liste de ses précédentes victimes (Petrova, Schiavone, Capriati et Myskina) incitait à la plus grande méfiance.

Jouant sur un nuage depuis le début de la semaine, Likhovtseva avait fait oublier son classement actuel (39e) pour rappeler qu’à vingt-huit ans, après avoir été quinzième en 1999, elle ne se laisserait pas engloutir par la vague russe qui déferle sur le circuit féminin.

La veille, après avoir arraché de haute lutte la victoire à sa meilleure amie Anastasia Myskina, au terme d’un match pimenté de multiples rebondissements (13 breaks en 31 jeux), Likhovtseva avait rendu hommage à son nouvel entraîneur, le Français Samuel Sumyk, qui la suivait ici pour la deuxième semaine seulement.

Mais un coach ne peut faire de miracles en matière de récupération et les deux heures pile de la bataille acharnée de samedi avaient laissé des traces dans l’organisme de la Russe. Dans une partie commencée avec une heure de retard en raison d’un orage, elle se procura bien deux balles de break dès le troisième jeu, mais ce furent ses seules du match et Mauresmo les effaça, s’évitant de devoir « tirer de l’arrière », comme cela avait été le cas contre Zvonareva.

Au lieu de cela, c’est la Française qui distança son adversaire au jeu suivant pour ne plus jamais la revoir à sa hauteur. Survolant les débats, elle crédita son « deuxième » public d’un spectaculaire coup droit sauté à 4-0, salué par une ola au changement de côté suivant.

Après cinquante-deux minutes de jeu à sens unique, Mauresmo récolta une ovation monstre qu’elle remercia plus tard au micro du stade avec un trait d’humour, toujours en québécois : « Il y a deux ans, j’avais parlé en québécois, je ne sais pas si j’ai beaucoup progressé, ni si c’est très correct, mais je dois dire que j’ai christement bien joué… » L’expression, un peu familière en langage local, déclencha une salve d’éclats de rire.

Puis, la foule acclama la proposition du speaker de voir le Canada adopter Amélie Mauresmo, ce à quoi elle répondit : « Volontiers ! En arrivant avec mon coach à l’aéroport de Montréal, je lui ai dit qu’on se sentait ici comme à la maison… »

Elle avait déjà le Québec dans sa poche, il n’est pas près de la quitter.


ROMAIN LEFEBVRE

un autre article (sue Yahoo je crois)
« JE ME RAPPROCHE… »


AMÉLIE MAURESMO se réjouissait

de s’être emparée de la deuxième place mondiale, avec la manière.MONTRÉAL –

de notre envoyé spécial


« VOILÀ UNE FINALE rapidement expédiée…
– Il n’y a pas grand-chose à dire si ce n’est que j’ai joué juste par rapport à ce que j’avais vu hier soir (samedi) en regardant sa demi-finale à la télévision. Un : j’avais bien en tête ses schémas de jeu ; deux : c’est vrai qu’elle était fatiguée de son match donc dès que je serrais un peu le jeu sur trois ou quatre échanges, elle pouvait difficilement tenir…

– Quelle est votre plus grande satisfaction de la semaine ?

– C’est évidemment de prendre cette deuxième place mondiale de cette manière-là. Ça signifie beaucoup de choses. Je n’étais pas très bien en début de tournoi et je sors vraiment grandie de cette semaine-là. Avec beaucoup de confiance, des matches difficiles au début, et une montée en puissance depuis ma victoire contre Sprem (en quart de finale). Je me rapproche de mon objectif, c’est vraiment génial.

– Justement, cet objectif d’atteindre la première place mondiale, quelle place occupe-t-il dans votre esprit ?

– Il est bien là. Ce n’est pas une obsession de chaque minute, de chaque instant mais, voilà, ça fait maintenant deux ans et demi que j’en parle, et maintenant, c’est là, tout proche… Je suis deuxième mondiale, il n’y a aucun Français ou aucune Française qui a atteint cette place-là. Ça a déjà une énorme signification mais moi je veux aller au-delà de ça. Je veux arriver à cette première place. Même si c’est bien ancré dans ma tête, c’est normal, en même temps je veux y parvenir en produisant du beau tennis comme je l’ai fait depuis le quart et la demie ici. Je ne veux pas y arriver par des circonstances de classement uniquement. Si ça se fait de cette manière, OK, je prends, mais je sais qu’il faut absolument que je reste concentrée sur mon jeu et ça viendra tout seul.– Et maintenant, cap sur Athènes…

– On va atterrir lundi, je vais me reposer durant la journée de mardi et puis mercredi on repart. On arrivera sur place le soir, donc on va s’entraîner jeudi, vendredi et samedi avec un programme physique et tennis adapté à mon état de fatigue car il faudra aussi récupérer du décalage horaire qui n’est pas évident dans ce sens-là. » – R. L.

Je trouve ce passage là particulièrement significatif de l'ambition d'Amélie: "Même si c’est bien ancré dans ma tête, c’est normal, en même temps je veux y parvenir en produisant du beau tennis comme je l’ai fait depuis le quart et la demie ici. Je ne veux pas y arriver par des circonstances de classement uniquement. Si ça se fait de cette manière, OK, je prends, mais je sais qu’il faut absolument que je reste concentrée sur mon jeu et ça viendra tout seul."

Elle veut être numéro une certe, mais en jouant bien et en prenant su plaisir sur le cours

Ce qui serai parfait c'est qu'elle atteigne le grall en gagnant lUS Open, cela constituerait deux consécration en même temps, ce serait énorme !

je crois que j'ai vu Amélie dans la délégation française
enfin juste aperçue mais elle était en tête des athlètes

Salut! Vs vs rappelez? C'était dans Paris-Match en 2003

http://www.parismatch.com/site/affiche_article.php?id_art_561

Notre Amélie est en couverture de tennis magazine du mois de septembre
Yes Yes Yes Tous à vos librairies A vos Marques Prêts ? Partez

Je vais lire ça ce we et j'essayerais de vous faire un résumé


Aphro

j'ai honte, ça fait 3 semaines que je l'ai reçu et je l'ai pas encore lu

Coucou Aniron Il n'est jamais trop tard tu sais!

Pourquoi as-tu mis le drapeau suisse dans ta signature? C'est en l'honneur de Dama et de casp? En tous les cas c'est joli!

A plus

Coucou! j'ai mis le drapeau suisse parce que je suis à moitié suissesse. j'ai la double nationalité, la Suisse est ma seconde patrie

Bonsoir Avez-vous vu la belle Amélie accueillie par Georges Goven à Roland-Garros sur France 3? Détendue, souriante, pleine de sérénité et de joie

Amélie sur le plateau de Stade 2 sur France 2 à 17h50 environ ce jour

Voilà à vos magnétos !!!


Aphro

Merci Aphro pour l'info! On l'a vue, elle est radieuse

Merci Aphro j'ai regarder Amélie grace à toi elle etait super et çà nous à fait une occasion de la voir

Ouais super cool à l'aise Amélie à stade 2

Oui j'ai enregistré Stade2 et j'ai pu constaté qu'Amé "planait" comme dans toutes ces autres apparitions! A mon avis elle va "planer" encore quelques jours grâce à cette place de numéro une......et puis retour sur terre, à l'entrainement pour "nous" faire une fin de saison canon comme l'an passé!