FOOT : l'Equipe de France

Pauvre Domenech Il est pas au bout de ses peines...

Match nul c'est pas si mal

Article yahoo.fr

Mondial 2006 : la France contrainte à la victoire

NICOSIE (Reuters) - Bien qu'elle le regrette certainement, l'équipe de France n'a plus le loisir de s'abriter derrière le paravent qu'elle a dressé entre elle et ses résultats depuis l'élimination de l'Euro2004.


Mercredi face à Chypre, les Bleus vont devoir se montrer tels qu'ils sont: que leur physique soit avantageux ou que leur inspiration soit vaine.


Après avoir tergiversé face à Israël et contre l'Irlande pour leurs deux premiers matches éliminatoires du Mondial 2006 à domicile, les hommes de Raymond Domenech ont une obligation de résultat, un devoir de victoire.


D'abord parce que leur exercice comptable n'est pas bon, même s'il n'est pas encore défavorable, ensuite parce que l'on ne peut éprouver impunément sa confiance en se contentant d'attendre qu'elle revienne.


De son match contre des Irlandais très pugnaces samedi au Stade de France, la France a dit avoir tiré quelques raisons d'espérer malgré un 0-0, à peine mérité.


"Quelque chose est en train de naître," a commenté Domenech, se voulant sans doute plus optimiste que sa raison ne lui dicte vraiment. "Toutes les équipes connaissent des cycles difficiles. Il faut nous laisser du temps."


Cette dernière phrase revient comme un leitmotiv dans chacune de ses interventions mais malheureusement, la montre est ce que le sélectionneur ne peut pas jouer.


Avec cinq points pris en trois rencontres, les Français doivent seulement de ne pas être distancés dans le groupe 4 aux résultats des autres équipes entre elles.


"Je ne sais pas à quelle allure, ni comment la sélection va avancer," admet-il quand même. "Je parle tout le temps de construction mais avec l'humain, on ne peut pas faire des plans comme dans le bâtiment."


ACCOUCHEMENT DANS LA DOULEUR


C'est sans doute ce qui l'avait incité à tenter de faire sortir de leur retraite les précieux anciens qui font tellement défaut aujourd'hui.


Placé au centre de cette équipe qui continue d'avancer dans le flou, Raymond Domenech tente de trouver des repères, des balises qui lui montreraient avec plus de certitude le chemin à suivre.


Parmi ce qui n'est pas contestable: la défense tricolore n'a pas pris de but lors de ses trois dernières sorties même si le tandem Squillaci-Givet ne peut se comparer au duo génial que composaient Laurent Blanc et Marcel Desailly.


Ce qui n'est pas non plus contestable est que la France marque peu ou plutôt que Thierry Henry, celui qui avait "gagné" la Coupe des confédérations il y a un an, est muet, imprécis ou malchanceux, comme l'on voudra.


Le montrer du doigt comme seul responsable de l'indigence offensive des Bleus serait injuste tant l'animation et les combinaisons offensives sont trop souvent stéréotypées ou tout simplement absentes.


"L'attaque est un secteur particulier où tout peut évoluer très vite. Les choses peuvent changer rapidement pour ce type de joueurs. Il leur suffit parfois de faire un bon match pour les relancer."


Mercredi, les Français n'ont pas d'autre solution que de faire un bon match, pas nécessairement dans la manière mais dans le résultat.


Un nouveau nul ouvrirait sûrement une crise pour l'instant couverte par des propos lénifiants et le bénéfice du doute.


Ce doute levé, il n'y aurait plus de raisons de ne pas poser la questions des causes de ce manque de réussite.


Les grandes aventures accouchent souvent dans la douleur, dit-on. Quelque chose est en train de naître, dit Domenech. Il serait temps car depuis trois mois, l'équipe de France a beaucoup souffert.

Hésitants, les Bleus ont battu Chypre (2-0) dans les éliminatoires du Mondial 2006...
Victoire sans panache de la France



Par ailleurs L'Espagne a effectué une faible prestation avec son match nul (0-0) en Lituanie. L'Angleterre s'en sort tout juste (1-0) en Azerbaïdjan. L'Ecosse concède un nul (1-1) inquiétant en Moldavie alors que le Liechtenstein enfile toujours les buts (4-0 au Luxembourg) après son nul 2-2 face au Portugal samedi.

Chypre-France 0-2 Buts pour la France : Sylvain Wiltord (37e), Thierry Henry (71e).

Voilà trois points qui font du bien. La victoire de l'équipe de France sur Chypre 2-0 hier soir à Nicosie éloigne à coup sûr une crise, au moins de confiance, qui était toute prête à occuper le devant de la scène footballistique hexagonale. Mais ce succès dans ce quatrième match des éliminatoires du Mondial 2006 (groupe 4 de la zone Europe) est loin de lever tous les doutes suscités par cette équipe de France labellisée Raymond Domenech. «En reconstruction totale», selon Aimé Jacquet (Libération d'hier), mais dont les bégaiements lors des trois premiers rounds inquiétaient fortement.

Les Bleus ­ qui jouaient en blanc hier soir, le bleu étant l'apanage des Chypriotes ­ ont pris le match à bras le corps, créant trois actions percutantes lors des trois premières minutes de la rencontre. Mais ce fut comme un cri d'orgueil plus que de révolte. Ceci jeté, l'équipe de France est retombée dans les travers qui inquiètent tant depuis plusieurs mois maintenant, avec ou sans Zidane. Silvestre totalement hors du coup, Pires maladroit, Henry qui semble chercher sa place... Les Tricolores paraissent tétanisés par le ballon qui leur est destiné.

Comme face à l'Eire samedi dernier, ils ne doivent qu'à Barthez de ne pas boire la coupe des errements jusqu'à la lie. Dans une même action qui sent le but, le portier marseillais a le geste juste à trois reprises (24e). C'est au moment où l'on s'apprête à mettre les drapeaux en berne que l'espoir surgit des crampons de Wiltord. Aussi adroit qu'opportuniste, il transforme en but une déviation de Pires (37e).

En seconde période, alors que Raymond Domenech attendait de ses joueurs qu'ils entament «comme ils l'ont fait au début du match mais en tenant quarante-cinq minutes cette fois», ce sont surtout les Chypriotes qui se mettent en évidence, à l'instar d'Okkarides, Satsias ou Constantinou. Tous en manque de réussite. Les Français parviennent à forcer leur destin. Par Henry (71e). 2-0, c'est fort bien payé. Au bord du terrain, Raymond Domenech le sait bien. Il lâchera après la rencontre : «Comme je l'ai déjà dit, ce qu'il faut c'est gagner en essayant de progresser. Ce soir un palier a été franchi. C'est comme ça que l'on regagne de la confiance.»

La France est deuxième du groupe 4, à égalité avec l'Eire (qui a battu les îles Féroé 2-0). Les Bleus ont jusqu'au 26 mars (face à la Suisse) pour retrouver de l'allant.

France-Pologne, prime à la jeunesse
Le coup de jeune de l'équipe de France :

Pas un joueur n'aura plus de 28 ans mercredi soir contre la Pologne en match amical, Vieira et Giuly étant les "plus vieux". Parmi ces "bleuets", on retrouve Malouda ou encore Louis Saha. Pour Raymond Domenech, cette rencontre devrait booster ces jeunes à faire leurs preuves... La France va tenter mercredi au Stade de France de terminer en beauté une année 2004 décevante qui l'a vu perdre son titre de championne d'Europe et plusieurs de ses meilleurs joueurs. Depuis leur élimination en quart de finale de l'Euro, les Français éprouvent du mal à se reconstruire et leurs performances sont désormais loin de ce qu'elles étaient il y a encore un an.

Une victoire mercredi serait de bon augure pour 2005 avant une fin de campagne de qualification au Mondial allemand qui s'annonce délicate. Les Français n'ont pas encore gagné à domicile depuis que Raymond Domenech a remplacé Jacques Santini à la tête de la sélection nationale. Les Bleus ont été tenus trois fois en respect à domicile par la Bosnie, Israël et l'Eire et se sont imposés péniblement aux Iles Féroé et à Chypre.

"Nous n'allons pas brader ce match," a promis Domenech. "Il n'y a pas de points à prendre mais nous allons jouer à fond. "Cette équipe progresse à chaque match. Elle ne peut que progresser et nous avons confiance. Nous sommes en phase de reconstruction." Les Français devraient pourtant se méfier des Polonais qui restent sur trois victoires consécutives loin de leurs bases, notamment au Pays de Galles et en Autriche lors des éliminatoires au Mondial 2006.

"Nous sommes impatients d'être dans ce match," a poursuivi Domenech. "De voir comment nous allons encore évoluer et voir ce que nous allons pouvoir faire." Pour cette dernière rencontre de l'année, Domenech a laissé à l'écart Robert Pires, le plus capé des Bleus, et a fait appel à cinq nouveaux dont le gardien de Parme Sébastien Frey. Ce dernier a été appelé lundi pour pallier la blessure de Fabien Barthez qui souffre d'un hématome au genou et sera remplacé mercredi dans les buts par le Nantais Mickael Landreau.

"Grégory (Coupet) et moi, nous avons tous les deux plus de 30 ans et il faudra un jour que l'on songe à se retirer. L'avenir est du côté de joueurs comme Mickael," a commenté Barthez. "C'est bien pour lui qu'il ait l'occasion de jouer." S'il doit composer avec les absences, Domenech peut compter sur les retours attendus du défenseur Willy Sagnol et du milieu de terrain Ludovic Giuly pour apporter un esprit offensif à l'équipe.

"Lorsque l'on change 70% d'un groupe, on ne peut pas espérer que les choses se mettent à marcher du jour au lendemain. Mais je ne trouve pas que cette équipe va si mal," a commenté le Munichois.

Equipe probable : 1-Mickael Landreau; 19-Willy Sagnol, 20-Gaël Givet, 17-Sébastien Squillaci, 3-Patrice Evra; 4-Patrick Vieira, 18-Benoît Pedretti, 15-Rio Mavuba; 8-Ludovic Giuly, 9-Louis Saha, 12-Thierry Henry.

(pour Greg : c'est la dernière prestation de Thierry Rolland ce soir !!!)

Emmanuel Petit tire un trait sur le football

LEMONDE.FR | 21.01.05 | 09h14


Le milieu défensif français, Emmanuel Petit, 34 ans, champion du monde de football en 1998 et d'Europe en 2000, a annoncé vendredi dans une interview au journal "L'Equipe" qu'il mettait fin à sa carrière.
Emmanuel Petit, qui avait débuté sa carrière à 19 ans alors que son célèbre compatriote Michel Platini était sélectionneur, avait marqué lors de la finale du Mondial-98 le troisième but de l'équipe de France contre le Brésil (3-0). L'ancien international a justifié sa décision par le fait qu'il était persuadé qu'il ne pourrait plus retrouver une forme physique suffisante pour évoluer au haut niveau.

Après une opération au genou droit, Emmanuel Petit avait tenté de retrouver sa forme avec l'aide d'un préparateur physique du club anglais d'Arsenal mis à sa disposition par son entraîneur, Arsène Wenger. Sans club depuis le début de la saison, Petit s'entraînait avec Arsenal, son club de 1997 à 2000.

"Peu de temps avant Noël, quand j'ai eu la certitude de ne plus retrouver mon niveau physique, je savais que c'était fini", a notamment déclaré Emmanuel Petit au quotidien sportif, précisant qu'il gardait de son opération "une instabilité articulaire" incompatible avec le niveau professionnel.

Emmanuel Petit a ajouté n'avoir "aucun regret, si ce n'est peut-être celui de finir ma carrière sur une blessure, comme Marco van Basten ou Glenn Hoddle".

Longtemps épargné par les blessures, Petit avait subi trois opérations de suite lors de ses six derniers mois de présence à Chelsea (janvier-juin 2004).

Réputé pour son côté rebelle, Emmanuel Petit avait claqué la porte de l'équipe de France de football en septembre 2003, mécontent du sélectionneur Jacques Santini, affirmant notamment "avoir le sentiment que l'équipe de France n'était pas dirigée par l'homme qu'il fallait".

Emmanuel Petit est désormais le septième champion du monde à mettre fin à sa carrière sportive, rejoignant ainsi Lionel Charbonnier, Stéphane Guivarc'h, Alain Boghossian, Bernard Lama, Laurent Blanc et Didier Deschamps.

Dans l'Equipe ce matin :
Dugarry raccroche ! Christophe Dugarry a annoncé son départ en retraite pour "des raisons familiales" : 1 de moins dans l'equipe des champions du monde...

France-Suède de football: les Français avec Trezeguet, mais sans Pires

PARIS (AFP) - David Trezeguet, l'attaquant de la Juventus Turin (1re div. italienne) qui n'a plus joué avec l'équipe de France de football depuis l'Euro-2004, a été sélectionné jeudi pour le match amical contre la Suède, le 9 février, au contraire de Robert Pires, le milieu de terrain d'Arsenal.

Le retour de Trezeguet, meilleur buteur des Bleus en activité (29 buts, un de plus que Thierry Henry) mais souvent blessé depuis l'Euro, était attendu. L'attaquant de la Juve a repris la compétition le 13 janvier après avoir été opéré avec succès de l'épaule gauche en octobre. Il n'a plus porté le maillot de l'équipe de France depuis le quart de finale de l'Euro-2004 perdu contre la Grèce (0-1).

Pires, le plus capé (79 sélections) des Bleus encore en activité, avait évoqué en octobre, dans la presse, ses problèmes relationnels avec le sélectionneur, Raymond Domenech. Il n'avait déjà pas été convoqué pour le match amical contre la Pologne (0-0), le 17 novembre, Domenech se retranchant alors derrière un "choix sportif". Cette fois-ci, le sélectionneur n'a pas voulu répondre aux questions concernant le joueur d'Arsenal.

Les 20 joueurs cités jeudi après-midi par Domenech sont convoqués à partir de lundi midi au Centre technique national de Clairefontaine (à une cinquantaine de kilomètres de Paris). Le match amical contre la Suède, qui aura lieu le 9 février à 20h00 GMT au Stade de France, doit permettre aux Français de préparer les prochains matches de qualification pour le Mondial-2006, le 26 mars contre la Suisse au Stade de France et le 30 mars à Tel Aviv contre Israël.

La sélection française contre la Suède:

. Gardiens: Fabien Barthez (Marseille), Grégory Coupet (Lyon)

. Défenseurs: Eric Abidal (Lyon), Patrice Evra (Monaco), William Gallas (Chelsea/ENG), Gaël Givet (Monaco), Sébastien Squillaci (Monaco), Jonathan Zebina (Juventus Turin/ITA)

. Milieux: Olivier Dacourt (AS Rome/ITA), Vikash Dhorasoo (Milan AC/ITA), Rio-Antonio Mavuba (Bordeaux), Camel Meriem (Bordeaux), Benoît Pedretti (Marseille), Patrick Vieira (Arsenal/ENG)

. Attaquants: Ludovic Giuly (FC Barcelone/ESP), Thierry Henry (Arsenal/ENG), Peguy Luyindula (Marseille), Florent Malouda (Lyon), Louis Saha (Manchester United/ENG), David Trezeguet (Juventus Turin/ITA).

Quand on lit les noms des joueurs et les équipes d'où ils viennent, on se dit qu'il y a du beau monde ... Big problem, c'est en equipe de France qu'ils jouent et on se demande ce que ça va donner

Foot : les Bleus ont enfin marqué un but !

Avec un nul (1-1) face à la Suède en match amical mercredi soir au Stade de France, l'équipe de France de l'ère Domenech a retrouvé un peu le sourire. Certes toujours pas de victoire mais un but et une envie retrouvée. C'est pourtant le Suédois Ljungberg qui avait ouvert la marque dès la 11e minute. Mais David Trézéguet, de retour après une longue absence, a profité d'un très bon centre de Thierry Henry à la 35ème minute pour égaliser. Ensuite pas de but mais le quatuor Henry, Trézéguet, Dhorasoo et Giuly a enflammé le public. Au final, seulement un match nul mais beaucoup d'espoir avant les prochaines rencontres face à la Suisse et Israël en mars. Deux matchs comptant pour les éliminatoires au Mondial 2006 qu'il faudra cette fois impérativement remporter.

Les Bleus se préparent pour jouer la Suisse (Yahoo.fr)

Les 20 joueurs de l'équipe de France de football sont réunis cet après-midi à Clairefontaine afin de préparer les matchs des 26 et 30 mars contre la Suisse et Israël comptant pour les éliminatoires de la Coupe du Monde 2006. L'attaquant d'Arsenal Thierry Henry, actuellement blessé au mollet gauche, est incertain pour le premier match contre les Helvètes au Stade de France. Les Bleus resteront au centre technique national jusqu'à dimanche, avant de s'envoler, le lendemain, vers Tel-Aviv, là où ils affronteront Israël.

Merci pour l'onfo aerius

Fabien Barthez, amer, arrêtera sa carrière en 2006

par Pierre Sérisier

CLAIREFONTAINE - Le gardien de l'équipe de France, Fabien Barthez, entend quitter en 2006 un monde du football dans lequel il se sent de moins en moins à l'aise.

"J'ai 33 ans. Il ne me reste pas beaucoup de saisons à vivre et ces 13 années au plus haut niveau ont passé très vite", a dit le portier de l'Olympique de Marseille alors que les Bleus préparent leurs rencontres qualificatives pour la Coupe du monde contre la Suisse et Israël.

"L'échéance, c'est 2006", a-t-il ajouté, précisant que cette date concernait aussi bien sa carrière internationale que domestique.

"Tant que je suis là c'est que la motivation est à 300%. Si vous venez en équipe de France et que vous n'êtes pas motivé, ce n'est pas la peine."

Barthez a ajouté qu'il ne chercherait pas à se reconvertir dans le monde du football.

"Je l'aime de moins en moins. C'est de plus en plus pourri. Je n'ai pas d'exemple précis à donner. Parfois, il vaut mieux la fermer", a-t-il dit.

Barthez, dernier rescapé de l'équipe qui a joué l'Euro 1996 sous les ordres d'Aimé Jacquet, compte 73 sélections avec les Bleus depuis ses débuts, en mai 1994, contre l'Australie.

DES DOUTES QUI NE DATENT PAS D'HIER

Devenu numéro un devant Bernard Lama - dont il était le second à l'Euro 1996 - pour le Mondial 1998, il devient champion du monde au stade de France contre le Brésil, deux ans avant de remporter l'Euro 2000 face à l'Italie.

Barthez a débuté sa carrière à Toulouse avant de rejoindre en 1992 l'OM, avec qui il gagne la Ligue des champions à Munich contre le Milan AC en 1993.

Il est transféré à Monaco en 1995, avant de passer deux ans et demi à Manchester United et de rejoindre Marseille en décembre 2003.

Capitaine contre la Bosnie pour le premier match de l'ère Domenech, Barthez avait ensuite laissé planer un doute sur la suite de sa carrière internationale.

Mais le nouveau sélectionneur avait réussi à le convaincre de prolonger l'aventure.

Barthez doit en outre comparaître devant la commission de discipline de la FFF, le 7 avril, pour s'expliquer sur les incidents qui ont émaillé le mois dernier le match amical entre l'OM et le Wydad Casablanca.

Le gardien de l'OM avait alors craché sur l'arbitre de la rencontre.

"Quand on ne peut pas nous descendre sur le terrain, on le fait en dehors", a-t-il commenté, ajoutant qu'il ne se sentait "pas coupable".

© REUTERS.

Barthez n'a vraiment pas un comportement très clean avec cette annonce.
Allez voir l'Equipe d'aujourd'hui si ça vous intéresse.

Bonjour
Tu veux parler de ça Ardax ?

Accusé d'avoir insulté et craché sur l'arbitre marocain du match amical de football contre Wydad, le 12 février à Casablanca, Fabien Barthez a affirmé jeudi ne pas se sentir coupable et ne pas craindre une éventuelle sanction.

Il a dit :

"Personne n'est malade, il n'y a pas de mort. On fait tout un +flan+, je ne vois pas pourquoi", a encore lâché Barthez, qui a conclu au sujet de son geste: "Non, je ne le regrette pas, on est des hommes, et, comme on dit, on en a entre les jambes..."

Franchement je vois pas le rapport. Il vieillit mal Barthez et pour la sportivité il peut aller se coucher.

"Non, je ne le regrette pas, on est des hommes, et, comme on dit, on en a entre les jambes..."

Il est relou là Barthez C clair qu'on se sent plus un MEC quand on dit ça pas de doute

C'est relou des mecs comme çà allez c'est bon Bye bye Barthez

Composition de l'equipe de France ce soir à 21 H 00 au stade de France pour le match éliminatoire contre la Suisse :

Raymond Domenech (entr.)
Fabien Barthez
Willy Sagnol
Jean-Alain Boumsong
Eric Abidal
William Gallas
Sylvain Wiltord
Benoît Pedretti
Patrick Vieira
Vikash Dhorasoo
Thierry Henry
David Trezeguet


Remplaçants
Antonio Rio Mavuba
Allou Diarra
Sidney Govou
Ludovic Giuly
Grégory Coupet
Gaël Givet
Julien Escudé
Florent Malouda
Camel Meriem
Jonathan Zebina

France-Suisse : 0-0

Arrrffff bah çà valait pas le deplacement çà aussi

A mon avis ce n'est pas la peine de se déplacer pour France-Israel non plus Padmé

Brian a écrit:

Bonjour
Tu veux parler de ça Ardax ?

Accusé d'avoir insulté et craché sur l'arbitre marocain du match amical de football contre Wydad, le 12 février à Casablanca, Fabien Barthez a affirmé jeudi ne pas se sentir coupable et ne pas craindre une éventuelle sanction.

Il a dit :

"Personne n'est malade, il n'y a pas de mort. On fait tout un +flan+, je ne vois pas pourquoi", a encore lâché Barthez, qui a conclu au sujet de son geste: "Non, je ne le regrette pas, on est des hommes, et, comme on dit, on en a entre les jambes..."

Franchement je vois pas le rapport. Il vieillit mal Barthez et pour la sportivité il peut aller se coucher.

Il est un peu gonflé : pour quelqu'un qui en a entre les jambes, il a refusé de jouer je ne sais plus quel match récement parcequ'un truc avait été jetté des tribunes ou parce qu'il y avait eu des insultes je ne sais plus... et j'ai loupé cette "affaire" avec Israel ? il refuse d'aller là-bas pourquoi ? on lui a craché dessus ? pourtant personne n'est malade, et y'a pas mort d'homme ????...

On est bien d'accord Hypnovel ...

Suspendre Fabien Barthez "fausserait le championnat"...


MARSEILLE (Reuters) - L'entraîneur de l'Olympique de Marseille, Philippe Troussier, estime qu'une éventuelle sanction à l'encontre de Fabien Barthez serait de nature à "fausser le championnat" de France de football.


"Une suspension avant la fin de la saison fausserait le championnat car c'est un joueur clef de notre dispositif. Une absence en équipe de France, comme à Marseille, c'est une pénalité", a affirmé le technicien phocéen à l'issue de l'entraînement de l'OM.


Le gardien des Bleus doit comparaître devant la commission de discipline de la Fédération française de football, le 7 avril, pour s'expliquer sur les incidents qui ont émaillé le mois dernier le match amical entre l'OM et le Wydad Casablanca.


Le gardien marseillais avait alors craché sur l'arbitre de la rencontre.


Réaffirmant que le geste du portier de l'OM était un "acte condamnable", Troussier a rappelé qu'il avait déjà fait l'objet d'une sanction financière de la part du club.


"Sous sa carapace, c'est un garçon sensible. J'ai senti quelqu'un de blessé. Il a le sentiment de payer et de ramasser pour tous les autres", a-t-il plaidé.


"Il est touché, blessé et doit regretter son acte", a conclu Troussier.

1-1 face à Israel !!!