CYCLISME

On a quelques étapes en retard,veuillez nous excuser


Giro: Petacchi enlève la 15e étape, Savoldelli reste en rose


LISSONE, Italie (AP) - Alessandro Petacchi a remporté lundi la 15e étape du Tour d'Italie cycliste en devançant au sprint un autre spécialiste des arrivées groupées, Erik Zabel, et le champion olympique Paolo Bettini.


Petacchi, de l'équipe Fassa Bortolo, signe ainsi sa troisième victoire d'étape dans le Giro. Pour s'imposer, il s'est porté en tête du peloton à environ 200 mètres de l'arrivée, prenant le meilleur sur Zabel.

La tête du classement général reste inchangée, l'Italien Paolo Savoldelli conservant son maillot rose de leader devant ses compatriotes Danilo Di Luca et Gilberto Simoni, qui pointent respectivement à 25 secondes et 1 minute 48 secondes.

Avec son succès, Petacchi égale le nombre de victoires obtenues dans ce Giro par l'Australien Robbie McEwen, qui s'est retiré de la course avant les deux difficiles étapes de montagne qui ont eu lieu ce week-end. Mais le sprinter italien reste encore loin de sa performance de l'an dernier au Tour d'Italie: il avait alors remporté neuf victoires d'étape.

L'étape de lundi a été raccourcie d'une cinquantaine de kilomètres en raison de fortes pluies qui selon les organisateurs rendaient le début du parcours, tracé dans un terrain montagneux, trop dangereux.

Mardi, les coureurs observeront un jour de repos: le deuxième et le dernier de la course. AP

Merci pour ces infos Hadrien

Le Français Le Mével remporte la 16e étape du Giro
mer 25 mai, 17h05

VARAZZE, Italie (Reuters) - Le Français Christophe Le Mével, de l'équipe Crédit Agricole, a remporté la 16e étape du tour d'Italie cycliste, courue sur 210 kilomètres entre Lissone et Varazze.

Basso remporte la 18e étape, Savoldelli conserve le maillot rose


TURIN (AP) - L'Italien Ivan Basso a remporté vendredi la 18e étape du Tour d'Italie cycliste en se montrant le plus rapide lors du contre-la-montre individuel disputé entre Chieri et Turin. A deux jours de l'arrivée, le maillot rose de leader reste sur les épaules de Paolo Savoldelli, qui compte désormais plus de deux minutes d'avance sur son compatriote Gilberto Simoni.

Basso a bouclé les 34 kilomètres du parcours en 45 minutes et 5 secondes. Il obtient ainsi son deuxième succès consécutif dans le Giro.

Le coureur italien, qui avait déjà remporté l'étape alpestre de la veille, a devancé le Russe Vladimir Karpets de neuf secondes et l'Américain David Zabriskie, un coéquipier de Basso, de 20 secondes. Zabriskie avait déjà remporté le précédent contre-la-montre disputé à Florence.

Simoni, ancien double vainqueur du Giro, a perdu plus d'une minute sur Savoldelli, quatrième de l'étape. Le maillot rose a également creusé l'écart sur le Vénézuélien José Rujano Guillen, troisième du général, qui pointe désormais à trois minutes du leader.

Basso a retrouvé la forme après des problèmes d'estomac le week-end dernier qui l'ont privé de ses chances de remporter le Giro. "Ma victoire d'aujourd'hui est un bon test en vue du Tour de France", a-t-il souligné. Le coureur de la CSC avait fini troisième de la Grande Boucle l'an dernier.

L'étape de montagne au programme samedi, avec une arrivée prévue à 2000 mètres d'altitude à Sestrières et le passage de deux cols, pourrait être décisive pour le classement final. Le Giro s'achève dimanche à Milan.

Classement de la 18e étape:

1. Ivan Basso, Italie, CSC, 45 minutes, 5 secondes.

2. Vladimir Karpets, Russie, Illes Balears, à 9 s.

3. David Zabriskie, USA, CSC, à 20 s.

4. Paolo Savoldelli, Italie, Discovery Channel, à 23 s.

5. Dario David Cioni, Italie, Liquigas-Bianchi, à 28 s.

6. Sergiy Honchar, Ukraine, Domina Vacanze, à 40 s.

7. Marzio Bruseghin, Italie, Fassa Bortolo, à 1:02.

8. Juan Manuel Garate, Espagne, Saunier Duval, à 1:25.

9. Paolo Bettini, Italie, Quick Step, à 1:28.

10. Gilberto Simoni, Italie, Lampre, à 1:34.

11. Markus Fothen, Allemagne, Gerolsteiner, à 1:36.

12. Tadej Valjavec, Slovénie, Phonak, à 1:39.

13. Thomas Dekker, Pays-Bas, Rabobank, à 1:54.

14. Danilo Di Luca, Italie, Liquigas-Bianchi, à 1:55.

15. Michael Blaudzun, Danemark, CSC, à 1:58.

Classement général:

1. Paolo Savoldelli, Italie, 82 heures, 10 minutes, 18 secondes.

2. Gilberto Simoni, Italie, à 2:09.

3. Jose Rujano Guillen, Venezuela, à 3:00.

4. Danilo Di Luca, Italie, à 3:08.

5. Juan Manuel Garate, Espagne, à 3:13.

6. Sergiy Honchar, Ukraine, à 4:22.

7. Vladimir Karpets, Russie, à 6:30.

8. Dario David Cioni, Italie, à 6:52.

9. Pietro Caucchioli, Italie, à 6:53.

10. Marzio Bruseghin, Italie, à 8:21.

Savoldelli vainqueur d'un Tour d'Italie cycliste palpitant

MILAN (AFP) - Quatre des protagonistes du Giro, qui s'est conclu dimanche à Milan par la victoire de l'Italien Paolo Savoldelli, sont attendus au départ de la Grande Boucle, le 2 juillet.

En revanche, l'Italien Gilberto Simoni (2e, absent par choix d'équipe) et le Vénézuélien José Rujano (3e, équipe non invitée) ne seront pas présents en France.


Dimanche, pour la deuxième fois, Paolo Savoldelli est sorti vainqueur du Tour d'Italie cycliste qui a donné lieu à une course indécise et palpitante avant de se conclure à Milan par le succès de son compatriote Alessandro Petacchi dans la 20e étape.

. Paolo Savoldelli (1er): beau temps.

Au soir de sa victoire, le Bergamasque s'est exprimé de façon très claire sur son statut au sein de l'équipe Discovery Channel. D'entrée de jeu, les emplois ont été distribués par le directeur sportif Johan Bruyneel: "Il m'a dit qu'il faisait un pari personnel alors que je venais de passer deux saisons à oublier: 'Je t'ai vu gagner le Giro (2002), je pense que tu es un bon coureur.' Les choses étaient claires, je devais tenter de monter sur le podium du Giro et aider ensuite Lance (Armstrong) sur le Tour. Pour moi, les choses vont bien ainsi. Le Tour me plaît beaucoup, c'est une très grande course, très difficile. Mais je suis italien, j'aime le Giro et je reviendrai l'an prochain pour essayer de gagner une troisième fois."

. Vladimir Karpets (7e): soleil.

Sans bruit, le Russe de l'équipe des îles Baléares a conduit un Giro quasi parfait pour un coureur venu surtout dans la perspective du Tour. Karpets avait demandé à courir le Giro de préférence à la succession de courses par étapes qui l'attendait. Il a tenu sa place dans le groupe des favoris, hormis dans l'étape de Sestrières, et a honoré son rang dans les contre-la-montre (2e à Turin). Il s'est classé au final 7e comme l'avait fait un grand ancien de son équipe, l'Espagnol Pedro Delgado, en 1988, l'année de sa victoire dans le Tour. Le Russe présente des ambitions moins hautes mais, compte tenu de sa solidité, il serait étonnant de le voir éloigné de la tranche 5e-8e à l'arrivée du Tour, un an après sa victoire au classement du meilleur jeune (13e).

. Damiano Cunego (18e): orage.

Le jeune prodige de l'équipe Lampre a expliqué sa défaillance dans le premier col difficile par une raison surtout psychologique, "un poids trop lourd sur les épaules". Savoldelli, fin observateur, a apporté un autre éclairage à la fin du Giro: "Damiano a plus de classe que moi, il peut gagner un peu partout. Mais j'ai été surpris l'an dernier de le voir courir deux grands tours à l'âge de 22 ans. Il m'avait dit qu'il allait sur la Vuelta pour préparer le Championnat du monde mais il a terminé la course." Avec, pour conclusion implicite, que le Véronais -irrésistible l'année passée dans un Giro de niveau moins relevé-, doit retrouver maintenant de la fraîcheur pour réussir ses débuts dans le Tour de France.

. Ivan Basso (28e): nuage.

Pour avoir perdu une course dont il détenait les clés après ses démonstrations dans le contre-la-montre puis la première étape de montagne, l'Italien de l'équipe CSC a surtout provoqué la perplexité. Dans quelle mesure son problème de santé (gastro-entérite) a-t-il eu une origine psychologique ? "Etre en position de grand favori, quand c'est la première fois, est lourd à gérer mentalement", a répondu Savoldelli. Basso doit maintenant apprendre à supporter le poids des responsabilités, a fortiori dans le Tour de France. Car ses progrès dans les contre-la-montre sous la direction de Bjarne Riis lui autorisent de grandes espérances, douze mois après être monté sur le podium des Champs-Elysées (3e).

Le classement général final

1. Paolo Savoldelli (ITA/Discovery Channel)
91 h 25:51.
2. Gilberto Simoni (ITA) à 28.
3. José Rujano (VEN) 45.
4. Danilo Di Luca (ITA) 2:42.
5. Juan Manuel Garate (ESP) 3:11.
6. Serhiy Honchar (UKR) 4:22.
7. Vladimir Karpets (RUS) 11:15.
8. Pietro Caucchioli (ITA) 11:38.
9. Marzio Bruseghin (ITA) 11:40.
10. Emanuele Sella (ITA) 12:33.
11. Wim Van Huffel (BEL) 13:49.
12. Markus Fothen (ALL) 14:42.
13. Dario Cioni (ITA) 15:26.
14. Daniel Atienza (ESP) 15:52.
15. Tadej Valjavec (SLO) 19:22.
16. Unai Osa (ESP) 20:46.
17. Samuel Sanchez (ESP) 21:55.
18. Damiano Cunego (ITA) 24:05.
19. Giampaolo Caruso (ITA) 24:29.
20. Ivan Parra (COL) 25:37.
21. Alexandre Kolobnev (RUS) 34:50.
22. Patxi Vila (ESP) 38:17.
23. Patrice Halgand (FRA) 44:55.
24. Wladimir Belli (ITA) 46:19.
25. Matthias Kessler (ALL) 50:49.
26. Christophe Le Mevel (FRA) 52:40.
27. Mauricio Ardila (COL) 56:02.
28. Ivan Basso (ITA) 57:05.
35. Laurent Lefèvre (FRA) 1 h 10:42.
38. Paolo Bettini (ITA) 1 h 18:08.
44. Luis Laverde (COL) 1 h 28:51.
54. Cédric Vasseur (FRA) 1 h 50:10.
63. Erik Zabel (ALL) 2 h 14:25.
71. Cyrille Monnerais (FRA) 2 h 26:08.
72. Carlos Da Cruz (FRA) 2 h 26:30.
78. Yannick Talabardon (FRA) 2 h 33:28.
81. Sandy Casar (FRA) 2 h 44:09.
82. Olivier Bonnaire (FRA) 2 h 48:13.
95. Julio Perez Cuapio (MEX) 3 h 05:35.
98. Lilian Jégou (FRA) 3 h 08:38.
100. Alessandro Petacchi (ITA) 3 h 09:30.
101. Michael Barry (CAN) 3 h 11:01.
105. Walter Bénéteau (FRA) 3 h 15:06.
110. Giovanni Bernaudeau (FRA) 3 h 17:22.
134. Franck Renier (FRA) 3 h 41:15.
141. Rony Martias (FRA) 3 h 45:29.
145. Unai Etxebarria (VEN) 3 h 50:01.
147. Mathieu Claude (FRA) 3 h 53:13.

197 coureurs au départ. 153 classés.

Le classement ProTour après le Giro

Classement individuel

1. Danilo Di Luca (ITA) 184 points
2. Tom Boonen (BEL) 112
3. Alessandro Petacchi (ITA) 111
4. Oscar Freire (ESP) 94
5. Paolo Savoldelli (ITA) 89
6. Davide Rebellin (ITA) 86
7. Michael Boogerd (PBS) 80
8. Bobby Julich (USA) 75
9. George Hincapie (USA) 75
10. Jens Voigt (ALL) 72
11. Gilberto Simoni (ITA) 70
12. Alberto Contador (ESP) 67
13. Juan Antonio Flecha (ESP) 65
14. Aitor Osa (ESP) 60
15. Damiano Cunego (ITA) 58
16. Thor Hushovd (NOR) 56
17. Santiago Botero (COL) 51
18. Yaroslav Popovych (UKR) 50
19. Alexandre Vinokourov (KZK) 50
20. Miguel Angel Martin Perdiguero (ESP) 50
21. David Etxebarria (ESP) 45
22. Alejandro Valverde (ESP) 43
23. Juan Manuel Garate (ESP) 42
24. Leonardo Piepoli (ITA) 41
25. Andreas Klier (ALL) 41
30. David Moncoutié (FRA) 36
51. Laurent Brochard (FRA) 25
73. Christophe Moreau (FRA) 5
76. Patrice Halgand (FRA) 5
81. Jérôme Pineau (FRA) 3
82. Christophe Le Mevel (FRA) 3
90. Arnaud Coyot (FRA) 1
92. Anthony Charteau (FRA) 1

Tour de France: l'équipe d'Armstrong n'a jamais été aussi forte


PARIS (Reuters) - Le soutien dont bénéficie Lance Armstrong à quelques semaines de sa conquête d'un septième et dernier tour du Tour de France semble plus fort que jamais après le Tour d'Italie.


L'Américain a toujours répété que la victoire dans la plus populaire des courses à étapes était le résultat d'un effort d'équipe. Il n'a eu de cesse de remercier le "train bleu" de l'US Postal de le porter confortablement jusqu'à Paris.


En dépit d'un changement de partenaire, l'équipe d'Armstrong sera toujours en bleu sur les routes du Tour et la Discovery Channel a déjà de nombreuses raisons d'être confiante.


L'Italien Paolo Savoldelli a remporté dimanche son deuxième Giro tandis que l'Ukrainien Iaroslav Popovitch a dominé le Tour de Catalogne une semaine plus tôt.


Les deux coureurs seront les équipiers de choix d'Armstrong pendant les trois semaines du Tour de France.


"Pour le moment, je ne veux que me réjouir de ce maillot rose", a déclaré Savoldelli après avoir été sacré pour la deuxième fois de sa carrière dans les rues de Milan.


"Mais je serai sur le Tour de France pour aider Lance. Il est le plus fort et je travaillerai pour lui. Dans l'équipe, nous disposons aussi du coureur du futur en la personne de Popovitch."


Malgré l'absence de son équipier le plus expérimenté, Viaceslav Ekimov, forfait pour le Tour après une chute à l'entraînement le mois dernier, Armstrong sera assisté de quelques uns des tous meilleurs coureurs du peloton.


JAN LA MENACE


Outre Savoldelli et Popovitch, l'Américain George Hincapie sera un partenaire de choix dans les étapes de plaine.


Dans la montagne, José Azevedo, Manuel Beltran et Jose Luis "Chechu" Rubiera, seront de précieux alliés.


Deux autres équipiers doivent encore être choisis par le directeur sportif Johan Bruyneel, probablement après le Dauphiné Libéré dont le départ sera donné dimanche.


Le Dauphiné marquera le retour d'Armstrong à la compétition après un mois d'entraînement intensif.


Pour le Texan, la victoire de Savoldelli dans le Giro est une excellente nouvelle.


"Nous avons vu qu'il avait un gros potentiel et beaucoup d'expérience. Il était logique qu'il soit le leader de l'équipe sur le Giro", a dit Armstrong, qui a confirmé qu'il allait participer à son dernier Tour de France.


Le Giro a donné une indication des forces qui seront en présence sur le Tour. L'Italien Ivan Basso, troisième l'année dernière, a craqué sur une étape - il était malade - mais s'est imposé à deux reprises.


Damiano Cunego, supposé être le grand espoir du cyclisme italien, n'a pas existé.


Gilberto Simoni a fini deuxième mais le grimpeur italien n'a jamais su inquiéter Armstrong, qui a conclu: "Jan (Ullrich) est la grande menace.


"C'est lui qui me réveille tôt tous les matins. Il dit qu'il veut me battre sur le Tour de France. Là, c'est sa dernière chance."

Dauphiné Libéré: victoire du Kazakh Vinokourov au Mont-Ventoux

MONT-VENTOUX (AFP) - Le Kazakh Alexandre Vinokourov s'est inscrit dans la lignée des grands à avoir vaincu le Mont Ventoux en l'emportant, facilement, jeudi, dans la 4e étape du Critérium du Dauphiné Libéré cycliste, comptant pour le circuit ProTour.

Mais, bien davantage que de récolter un 2e succès final, six ans après, le résident monégasque a surtout songé a se mettre, grandeur nature, dans le Tour de France, avec "ce petit test de montagne" auprès des meilleurs.

Vaincre sur ce Mont Chauve, pointant sa calvitie à 1909 mètres, suffit au bonheur, momentané, de l'un des trois leaders de T-Mobile. Dès lors, "on rentre dans l'histoire, comme tous les grands coureurs", explique-t-il. Et, si on lui fait remarquer que Lance Armstrong ne s'est jamais imposé sur celui qu'il surnomme ce "salaud", "Vino" a une réponse toute faite: "il n'a pas besoin de cela lui: il a déjà remporté six fois le Tour de France".

Cette Grande Boucle justement, l'ancien Stéphanois a donc souhaité s'y mettre, avant l'heure, dans le ton. "Il me fallait un bon petit test avant", a-t-il expliqué au terme d'un probant succès au pied de l'observatoire, allègrement acquis à la vitesse de 44,142km/h.

Entre Tournon et le Ventoux (182km), Alexandre Vinokourov a devancé l'Espagnol Jose Gomez-Marchante (2e à 6 sec) et le Belge Wim Huffel (3e à 16 sec), deux hommes que l'on n'attendait pas à pareille fête, le seigneur Lance Armstrong, toujours sur la réserve ici-même (4e à 37 sec), et l'Américain Floyd Landis (5e à 41 sec).

Ce coup de force, par grands vents, n'a toutefois pas eu raison de la détermination de l'Américain Levi Leipheimer et de sa Gerolsteiner, une équipe solidaire mais n'appréciant pas forcément les rampes soutenues, comme les 21 derniers kilomètres, à 7,7% de moyenne.

L'homme ayant décidé d'apprendre le français dès qu'il a compris, devant son téléviseur, qu'il courrait un jour le Tour de France, a continué à vivre "au jour le jour", avec un maillot or et bleu sur le dos, conservé pour 21 secondes d'avance sur Armstrong, 26 sur Vinokourov et 47 sur Landis.

Comme Vinokourov, il ne s'investira pas, bec et ongles, dans le 2e rendez-vous à étapes hexagonal, qu'il considère pourtant comme un "petit Tour de France d'une semaine". Pour l'heure, il se félicite du retour de manivelle qu'a subi le Colombien Santiago Botero, son vainqueur d'une seconde du chrono de la veille: 16e à 2 min 59.

Seul maître à bord de sa formation, Leipheimer n'a pas les devoirs de cohabitation de Vinokourov chez les postiers allemands, lesquels comptent trois atouts majeurs: Jan Ullrich, absent, Andreas Klöden, en retrait (74e à 11 min 50), et lui-même.

De toutes façons, Vinokourov, privé de Tour l'an dernier sur accident, a prévenu son monde: il serait fidèle à sa tactique d'attaquant (cette fois à cinq kilomètres du sommet).

"C'est là mon style. Même si je ne me sens pas bien, insiste-t-il. Sur le Tour, on fera le point avant. On élabore la tactique: j'attaquerai, et Jan verra ce que font les autres".

Pleinement rassuré sous le soleil inondant le Géant de Provence, l'intéressé ne veux néanmoins pas "aller trop à fond dans les prochains jours", laissant la balle dans le camp de Leipheimer qu'il considère maintenant comme le "grand favori" avant l'arrivée, dimanche à Sallanches.

Merci Aerius

Inigo Landaluze gagne à l'arraché le Dauphiné Libéré

SALLANCHES (AFP) - L'Espagnol Inigo Landaluze (Euskaltel) a remporté, dimanche, à l'arraché, le 57e Critérium du Dauphiné Libéré, comptant pour le ProTour cycliste, dont la 7e et dernière étape est revenue à l'Américain George Hincapie (Discovery Channel).

Cette ultime étape, Morzine-Avoriaz - Sallanches (128 km) a d'ailleurs permis à la formation de Johan Bruyneel de réaliser un triplé, puisque George Hincapie l'a emporté devant son compagnon de fugue Yaroslav Popovych, alors que le patron, l'Américain Lance Armstrong, réglait le groupe de contre-attaque.

A force de courage, pourtant esseulé, le Basque a préservé sa position de leader, avec 11 secondes d'avance sur le Colombien Santiago Botero (2e), 38 sur l'Américain Levi Leipheimer (3e), et 59 sur Lance Armstrong (4e).

A 28 ans, Inigo Landaluze a signé son premier succès professionnel.

Le directeur sportif de Discovery Channel Johan Bruyneel affichait sa sérénité dans le final du Critérium cycliste du Dauphiné Libéré, dimanche, à propos de sa formation et notamment de son chef de file Lance Armstrong.

Celui-ci pouvait d'ailleurs pavoiser au pied du Mont-Blanc où ses couleurs ont réalisé un triplé sur l'étape avec l'Américain George Hincapie (1er), l'Ukrainien Yaroslav Popovych (2e), et l'incontournatble sextuple vainqueur sur les Champs-Elysées, Lance Armstrong (3e), réglant le groupe des ténors en contre-attaque.

"Cela s'est très bien passé. Sans être pourtant super, Lance est vraiment là où il doit se trouver compte tenu du fait qu'il n'a pas beaucoup couru, a-t-il confié. Il est en effet arrivé sur le Dauphiné avec moins de repères que l'an dernier où il avait, auparavant, disputé le Midi Libre (NDLR: Le Tour du Languedoc-Roussillon). Il savait alors à quoi s'en tenir".

L'ex-patron des postiers (US Postal) est persuadé que son protégé, partant à la conquête d'un 7e succès sur la Grande Boucle, "franchira un nouveau palier" d'ici le Grand Départ de Noirmoutier, dans trois semaines, conforté par son comportement, le plus souvent dans les premiers, dans la 2e course à étapes française où "il est arrivé dans l'inconnu".

"Dans un contexte favorable, fait d'attaques et de rythme changeant en permanence, et dans de très bonnes conditions de course, j'ai trouvé Lance très consistant, insiste-t-il. Il n'y a donc pas d'inquiétudes à avoir".

Johan Bruyneel estime que Lance Armstrong avait besoin de ce Dauphiné "pour faire des efforts", "prendre son premier contact avec la montagne" et se "tester dans un contre-la-montre".

"Maintenant, il va pouvoir faire un entraînement plus spécifique, a souligné le technicien belge. Nous n'avons pas enregistré de déceptions, sans pour autant bercer dans l'euphorie".

A propos des futurs adversaires, Johan Bruyneel s'est surtout attardé sur le Kazakh Alexandre Vinokourov. "Il a marché très fort dans le Ventoux... Lance a pu l'observer et le suivre. Ce sera un gros client, a-t-il révélé. Quoi qu'il en soit, ce Dauphiné a permis à tous d'analyser les forces adverses. L'important est de constater que Lance est, d'ores et déjà, au niveau des autres".

Merci Aerius pour tout le mal que tu te donnes pour nous

Merci Aérius Dis donc tu vas avoir du boulot avec le Tour de France

Décès du cycliste Alessio Galletti à la Subida Naranco


MADRID (AFP) - Le cycliste italien Alessio Galletti est décédé mercredi en Espagne lors de la XXIX édition de la Subida Naranco, a confirmé à l'AFP le chef de presse de la course, José Ramon Rodriguez.

D'autre part, Liberty a décidé mercredi lors de son conseil d'administration de licencier Alberto Garai, le responsable du service médical de l'équipe cycliste espagnole, à la suite des valeurs sanguines hors norme décelées récemment chez deux de ses coureurs.

Des contrôles sanguins avaient révélé un hématocrite supérieur à la norme (52 %) chez deux coureurs de l'équipe Liberty Seguros, le premier sur la personne du Portugais Nuno Ribeiro au Giro, le 5 mai à Reggio de Calabre, le second chez l'Espagnol Isidro Nozal au départ du Dauphiné Libéré, le 5 juin, à Aix-les-Bains (Alpes françaises).

Alessio Galletti, 37 ans, de l'équipe Naturino-Sapore di Mare, est décédé près d'Oviedo (nord) à environ quinze kilomètres de la ligne d'arrivée, après avoir chuté et perdu connaissance.

"Il était en queue de peloton à l'entame de l'avant-dernier col de l'étape. Il est tombé, victime d'un arrêt cardio-respiratoire", a indiqué José Ramon Rodriguez, joint au téléphone depuis Madrid.

Selon le chef de presse de la course, "la pente n'était pas très élevée à cet endroit", mais "il faisait très chaud".

Le directeur général de la course, Curo Alvarez Mendo, a indiqué à la radio espagnole privée Cadena Ser que "les services médicaux ont tenté de le ranimer mais n'ont rien pu faire".

"Il se trouvait dans le dernier groupe qui entamait l'ascension du col de la Manzaneda. Soudain, il est tombé au sol", a-t-il expliqué.

Né le 26 mars 1968 à Pise, Galletti était passé dans les rangs professionnels en 1994. Durant sa carrière, marquée par quatre victoires, il avait notamment été coéquipier de son compatriote et illustre sprinteur Mario Cipollini, qui a pris sa retraite fin avril.

Galletti devait participer au Tour des Asturies (17 au 21 juin) sous les couleurs de Naturino, équipe qu'il avait rejoint cette saison.

Tour de France: deux nouveaux dans l'équipe d'Armstrong

PARIS (AFP) - Discovery Channel, l'équipe de l'Américain Lance Armstrong, en quête d'une septième victoire dans le Tour de France cycliste (2-24 juillet), comportera deux nouveaux par rapport à l'année passée, l'Italien Paolo Savoldelli et l'Ukrainien Yaroslav Popovych.

Savoldelli et Popovych, qui ont remporté respectivement le mois dernier le Tour d'Italie et le Tour de Catalogne, remplaceront numériquement le Russe Viatcheslav Ekimov et l'Américain Floyd Landis.

"Je pense que nous alignerons la formation la plus forte que nous ayons jamais eue", a estimé Armstrong après l'annonce de la composition de l'équipe Discovery Channel.

"Je le confirmerai le 24 juillet, a répondu en écho son directeur sportif Johan Bruyneel. Sur le papier, c'est une super équipe".

Bruyneel a souligné toutefois l'importance de l'absence d'Ekimov, un habitué du Tour, qui s'est blessé au dos en chutant à l'entraînement, en avril dernier, en compagnie d'Armstrong.

"Je voulais une équipe d'expérience pour le dernier Tour de Lance et cet élément a été le facteur déterminant du choix", a ajouté le directeur sportif en estimant que tous ses hommes étaient "prêts".


"Il n'a pas été difficile de choisir. Le groupe qui a disputé le Dauphiné (Azevedo, Beltran, Hincapie, Noval, Popovych et Rubiera) a montré qu'il était à un bon niveau. Paolo (Savoldelli) et Pavel (Padrnos) ont fait un très bon boulot au Giro. Il n'y a jamais eu de doute pour Paolo, surtout avec sa victoire au Tour d'Italie, c'est un grand coureur. Pavel a très bien travaillé au Giro et il est très fort. Pour moi, c'était une sélection facile", a déclaré Bruyneel.

L'Américain George Hincapie est le seul coureur de la formation américaine (US Postal jusqu'à l'année passée) qui ait participé aux six premières campagnes victorieuses d'Armstrong.

L'équipe Discovery Channel au Tour de France:

Lance Armstrong et George Hincapie (USA), José Azevedo (POR), Manuel Beltran, Benjamin Noval et Jose Luis Rubiera (ESP), Pavel Padrnos (TCH), Paolo Savoldelli (ITA), Yaroslav Popovych (UKR).

Rien à voir avec la choucroute mais voilà la fameuse robe de Sheryl Crow "taillée" dans les maillots jaune de Lance!!



C'est pas une blague en plus!!

Su-per-be Tanphae ! Merci

Y'a pas d'quoi!!

Armstrong pour un septième et dernier défi !

CHALLANS (AFP) - Le Tour de France s'apprête à vivre une septième et dernière fois sous le joug prévisible de l'Américain Lance Armstrong, favori de la 92e édition de la plus grande course cycliste du monde, qui s'élance, samedi, de Vendée (ouest) pour un parcours de 3608 kilomètres.

L'Allemand Jan Ullrich a fait une chute à l'entraînement qui lui a occasionné des plaies superficielles, vendredi, à la veille du départ du Tour de France cycliste à Fromentine, a annoncé son équipe T-Mobile.

Le vainqueur du Tour 1997 a percuté le hayon arrière de la voiture de son directeur sportif, Mario Kummer. Selon les explications de l'équipe allemande, Ullrich n'a pas vu que le conducteur avait freiné et n'a pu réagir à temps. "Je vais bien, ce n'est pas si grave", a déclaré le coureur allemand, dont la participation au Tour n'est pas remise en cause.

Les organisateurs des trois grands tours (France, Italie, Espagne) doivent dire avant la fin du mois de juillet s'ils entrent ou non dans le circuit ProTour en 2006, a déclaré vendredi le président de l'Union cycliste internationale (UCI), Hein Verbruggen, en marge des opérations de départ du Tour de France à Challans.

Le départ sous le ciel changeant de Vendée, qui accueille pour la troisième fois de l'époque récente la Grande Boucle, renvoie au premier maillot jaune d'Armstrong endossé au Puy-du-Fou.

Six ans plus tard (et quelque 20.000 kilomètres plus loin), le Texan bientôt âgé de 34 ans poursuit toujours son parcours sans-faute dans le Tour, sportivement du moins, à défaut d'avoir levé tous les doutes nés de son insolente supériorité.


Seul détenteur du record des victoires, Armstrong se prépare même à raccrocher le vélo, le 24 juillet, après les derniers tours de roue sur les Champs-Élysées. En jaune, peut-être, si tout continue à aller bien pour lui.

De l'avis de tous ses adversaires, l'Américain est le phare de la course. Comment pourrait-il en aller autrement après sa domination de 2004, attestée par cinq succès individuels d'étape et plus de 6 minutes d'avance sur son suivant, l'Allemand Andreas Kloeden ?

Son début de saison, médiocre, a été balayé par une performance de choix au Dauphiné, sa course-repère au début du mois de juin, quand il a pratiquement jugulé ses rivaux directs sans être encore à son sommet. Depuis cette date, le chef de file de l'équipe Discovery Channel dit avoir perdu 1,5 kg et se sentir "bien sur le vélo".

Au bout de son incroyable trajectoire (avoir réchappé d'un cancer et gagner le Tour !), qui en a fait une icône richissime dans son pays, Armstrong prend le risque d'une défaite. Il remet son prestige en jeu mais son professionnalisme, doublé d'une volonté hors du commun et d'une gestion intelligente de la course, plaident pour lui. Seule, la canicule a failli en venir à bout en 2003.

Pour atout, il continue à s'appuyer d'une équipe très performante, renforcée par l'Italien Paolo Savoldelli, le vainqueur du Giro qui est surtout le meilleur descendeur du peloton, et par l'Ukrainien Yaroslav Popovych présenté par son groupe comme étant "le coureur du futur". Mais l'équipe américaine doit composer avec l'absence de l'un de ses hommes de base, le vétéran russe Viatcheslav Ekimov (blessé).

Au départ de Fromentine, l'opposition est conduite une nouvelle fois par Jan Ullrich, aussi connu pour être le seul coureur allemand à figurer au palmarès du Tour (1997) que pour avoir collectionné une incroyable série de cinq deuxièmes places. L'Allemand, en retrait l'an passé (4e, son moins bon résultat), estime avoir mené une meilleure approche du Tour.

Ses chances tiennent surtout à la force collective de l'équipe T-Mobile qui aligne à ses côtés Andreas Kloeden, en forme aléatoire toutefois, et surtout Alexandre Vinokourov, l'attaquant kazakh qui n'a pas froid aux yeux.

Armstrong a jaugé le danger, lui qui a désigné dernièrement trois coureurs à surveiller en priorité. A côté d'Ullrich et de Vinokourov, il a placé l'Italien Ivan Basso (3e en 2004), en progrès dans les contre-la-montre.

Porte-drapeau d'un cyclisme italien dont les chefs de file font défaut au Tour 2005 (Petacchi et Cunego surtout), Basso présente plus de garanties que le Colombien Santiago Botero, l'homme de pointe de l'équipe Phonak (avec Landis et Pereiro), le grimpeur basque Iban Mayo ou l'espoir russe Denis Menchov.

Le parcours, un peu plus montagneux que l'année passée, respecte pour l'essentiel les équilibres chers à Jean-Marie Leblanc, directeur emblématique de l'épreuve qui s'efface doucement au profit de l'ancien journaliste Christian Prudhomme.

Les étapes de plaine de la première semaine, jusqu'à la visite en Allemagne, s'offrent aux sprinteurs (McEwen, Boonen, Hushovd, O'Grady, Cooke, J.-P. Nazon, etc). La moyenne montagne (Vosges, Massif Central) est elle aussi présente, tout comme les contre-la-montre individuels raisonnablement limités à 74,5 kilomètres.

Sur le terrain, le Tour veut conjuguer le passé (le centenaire du Ballon d'Alsace), la tradition (le Galibier par la face nord) et la modernité (le passage sous le viaduc de Millau). Les coureurs passent, le Tour -monument centenaire qui a failli être englouti par la tornade du dopage- demeure. L'après-Armstrong pointe déjà.

Tour de France: Armstrong humilie Ullrich


NOIRMOUTIER (AP) - Lance Armstrong, grand bénéficiaire du contre-la-montre de Noirmoutier dont il a pris la deuxième place en dominant tous ses principaux adversaires, a humilié son rival historique, Jan Ullrich. En l'espace de 19 kilomètres seulement.

Le sextuple vainqueur de la Grande Boucle, battu de deux secondes par son compatriote David Zabriskie, a relégué Ullrich à 1.06 minute. Parti une minute derrière, il a avalé l'Allemand à trois kilomètres de l'arrivée et a franchi la ligne devant lui.

"Il y a beaucoup de choses qui ont été dites à propos de Jan et de moi, mais on ne se déteste pas", a déclaré Armstrong. "Je suis parfaitement au courant qu'il a eu un mauvais accident vendredi à l'entraînement et il est déjà chanceux d'avoir pu prendre le départ. L'accident l'a vraiment diminué."

Vainqueur du Tour en 1997 et cinq fois deuxième, à trois reprises derrière Armstrong, Ullrich, qui était rentré dans la voiture de son directeur sportif vendredi, a donc entamé le Tour de la pire des façons. "J'ai pris un coup au moral", a-t-il avoué. "Je ne peux pas dire que je me suis senti mal. "La sensation de se faire dépasser par Armstrong n'est vraiment pas très agréable. Je ne m'attendais pas à ce qu'il me reprenne si vite."

Ullrich refuse cependant de considérer qu'il a déjà course perdue. "Il reste trois semaines de course et je vais me battre", a-t-il affirmé.

Le directeur sportif de l'équipe d'Armstrong, Johan Bruyneel, sait cependant que son protégé s'est probablement déjà débarrassé de l'une des principales menaces. "Jan n'était pas du tout dans la forme dans laquelle il aurait dû être", a-t-il analysé. "Je pense que la raison principale est l'accident dont il a été victime hier. Il se pourrait qu'il se sente encore plus mal demain. Ce n'est pas normal pour Jan de perdre autant de temps sur 19 kilomètres. Mais c'est un bon départ pour nous. Je suis sûr que Jan ne s'est pas réveillé ce matin avec de bonnes sensations. C'est triste pour lui, mais c'est la course." AP

Magnifique contre-la montre de Lance

Tom Boonen gagne la 2ème étape du Tour de France

1. Tom Boonen (BEL/QST)
les 181,5 km en 3h51:31.
2. Thor Hushovd (NOR/C.A) à 0:00.
3. Robbie McEwen (AUS/DVL) 0:00.
4. Stuart O'Grady (AUS/COF) 0:00.
5. Luciano Pagliarini (BRE/LIQ) 0:00.
6. Juan Antonio Flecha (ESP/FAS) 0:00.
7. Peter Wrolich (AUT/GRL) 0:00.
8. Jérôme Pineau (FRA/BTL) 0:00.
9. Baden Cooke (AUS/FDJ) 0:00.
10. Allan Davis (AUS/LIB) 0:00.
11. Manuel Quinziato (ITA/SAD) 0:00.
12. Robert Hunter (AFS/PHO) 0:00.
13. Inaki Isasi (ESP/EUS) 0:00.
14. Yuriy Krivtsov (UKR/A2R) 0:00.
15. Angelo Furlan (ITA/DVE) 0:00.

Le classement général

1. David Zabriskie (USA/CSC) 4h12:27.
2. Lance Armstrong (USA/DSC) à 0:02.
3. Laszlo Bodrogi (HUN/C.A) 0:47.
4. Alexandre Vinokourov (KZK/MOB) 0:53.
5. George Hincapie (USA/DSC) 0:57.
6. Floyd Landis (USA/PHO) 1:02.
7. Fabian Cancellara (SUI/FAS) 1:02.
8. Jan Ullrich (ALL/MOB) 1:03.
9. Jens Voigt (ALL/CSC) 1:04.
10. Vladimir Karpets (RUS/BAL) 1:05.
11. Igor Gonzalez Galdeano (ESP/LIB) 1:06.
12. Bobby Julich (USA/CSC) 1:07.
13. José Enrique Gutierrez (ESP/PHO) 1:12.
14. Levi Leipheimer (USA/GRL) 1:13.
15. Michael Rich (ALL/GRL) 1:13.

puisque mon chouchou est Lance,voici quelqurs belles photos!





quel champion,tout de même!

Une troisième étape pour les sprinteurs


LES ESSARTS (Reuters) - La troisième étape du Tour de France, de la Châtaigneraie à Tours, propose lundi aux coureurs une arrivée qu'ils connaissent bien.

Ils boucleront en effet les 212,5 kilomètres du jour sur l'Avenue de Grammont où s'achève chaque année la classique Paris-Tours. Un sprint massif semble inévitable.


Il faut toutefois se méfier des pronostics des coureurs. En 2000, l'année de la dernière étape de la Grande Boucle à Tours, ils avaient envisagé un sprint et Leon Van Bon s'était imposé devant un petit groupe d'échappés.


Un sprint est cependant très probable. Si deux côtes de quatrième catégorie figurent dans le final, il n'y a rien qui puisse vraiment désorganiser les équipes des sprinteurs.


C'est du moins l'avis de Florent Brard. Absent du peloton puisque son équipe Agritubel n'est pas invitée, il est natif de Chambray-les-Tours et connaît par coeur les routes de cette troisième étape.


"Il y a la côte de Chinon (km 161,5) au sommet de laquelle on voit le château où Jeanne d'Arc a rencontré le roi Charles VII", dit-il.


"Puis il y a la côte de La Tacconière (km 179,5), juste avant la ville de Saché dont était originaire Honoré de Balzac.


"Les sprinteurs ne seront pas mis en péril et comme le final n'est pas identique à celui de Paris-Tours et que la côte du Petit-Pas-de-l'âne ne sera pas escaladée, cela promet un sprint royal, au bout d'une ligne droite de près de trois kilomètres".


Ce sprint obligera les équipes à rouler très vite pour épargner à leur finisseur d'avoir à trop frotter et à subir des vagues.


En l'absence de la Fassa Bortolo, les équipes les plus concernées par le final seront Quick Step pour Tom Boonen, La Française des Jeux pour Baden Cooke ou Bernhard Eisel et la Davitamon-Lotto de Robbie McEwen.

Vous pouvez consulter le site http://www.letour.fr pour plus d'infos

Merci Aérius

Jeudi le tour de France fait étape à Nancy Mais je ne peux pas y aler je travaille

c'est dommage que tu bosses,j'aurais bien aimé que tu essaies de m'avoir une belle tof dédicacée de Lance Armstrong!