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croisons les doigts de mains et de pieds!!!

Amélie Mauresmo s'est facilement qualifié pour les huitièmes de finale de Roland-Garros en expédiant la Serbe Jelena Jankovic (6-3, 6-3) en une heure et 20 minutes de jeu tandis que Rafael Nadal a remporté une 55e victoire de suite sur terre battue en surclassant l'Américain Kevin Kim, 6-2, 6-1, 6-4, vendredi.

Mauresmo, la numéro un mondiale, n'a pas laissé le moindre répit à son adversaire, 32e mondiale, et a déjà fait mieux que l'an dernier, où elle avait cédé à ce stade de l'épreuve.

"Cela s'est bien déroulé, avec le soleil, le ciel bleu et le jeu qui vraiment se met en place au fil des tours. Je suis beaucoup plus satisfaite que lors de ces deux premiers tours jamais évidents. Le principal est de monter en puissance", a-t-elle déclaré.

Loin des ratés des premiers tours, Mauresmo a fait preuve d'une vraie montée en régime, encourageante pour son avenir.

"Je ne dirais pas encore que j'aime le court central à présent, mais ça vient", a-t-elle ajouté.

Pour espérer atteindre une troisième fois les quarts de finale de la compétition, Mauresmo devra se défaire de la Tchèque Nicole Vaidisiova, qui a été sans pitié pour la jeune Franco-Iranienne Aravane Rezai.

Presse Canadienne

Encore raté pour Amélie Mauresmo

04/06/2006 - 19h59

par Jean-Paul Couret

PARIS (Reuters) - Pour la douzième fois de sa carrière, Amélie Mauresmo a échoué à Roland-Garros où elle a été éliminée en huitièmes de finale par Nicole Vaidisova.

La Française s'est inclinée 6-5 (7-5) 6-1 6-2 en deux heures et huit minutes devant la Tchèque, classée tête de série n°16.

La chute a été d'autant plus dure que Mauresmo avait abordé le tournoi avec le rang de numéro un mondiale et une confiance théoriquement accrue par son premier titre du Grand Chelem obtenu au début de l'année à l'Open d'Australie.

Les Internationaux de France et le court central restent son cauchemar car elle n'y a jamais dépassé les quarts de finale alors qu'elle a été demi-finaliste à l'US Open en 2002 et à Wimbledon en 2002, 2004 et 2005.

"C'est décevant, je crois que j'ai beaucoup de progrès à faire sur terre battue. Il faut peut-être m'attendre ailleurs que sur terre battue", a-t-elle dit à sa sortie du court.

Contre une adversaire qu'elle avait battue à deux reprises 7-5 7-5 en novembre dernier à Philadelphie et 6-1 6-1 à l'Open d'Australie, la Française a effectué un début de match prudent mais apparemment confiant.

Elle a pris le service de son adversaire pour mener 4-2 puis 5-2. Vaidisova est revenue à 6-6 et a mené 4-2 dans le tie-break mais la numéro un mondiale a fait parler son expérience pour remporter le jeu décisif 7-5 sur un service gagnant.

Tout le central a alors cru que ce premier set difficile, qui avait duré 63 minutes, ne serait qu'un épisode sur la route de sa championne.

Il n'en a rien été. Mauresmo s'est complètement effondrée. Les jeux ont commencé à défiler, 4-0 puis 6-1 au premier set en 28 minutes, 6-2 au troisième en 37 minutes.

Son seul sursaut a été de sauver deux balles de match à 5-1 puis à 5-2 avant de s'incliner à la troisième, débordée encore une fois par un coup droit de Vaidisova.

"J'ai eu un coup de pompe au deuxième et au troisième set. Elle a mieux servi que moi, elle a gagné beaucoup de points gratuits. Je n'arrivais pas à tenir mon service", a-t-elle reconnu.


© Reuters Limited.

Et aussi :

http://www.liberation.fr/page.php?Article=387501

Même si c'est un peu tard allez faire un tour là, les encoragements sont très drôles!!!

http://www.avantageamelie.com/

Justine et Kim sifflotent (Le Soir de Bruxelles)

Mauresmo etSharapova sont tombées ce week-end. Henin et Clijsters sont à un match de leur duel. Aujourd'hui, elles affronteront respectivement l'Allemande Anna-Lena Groenefeld et la Suissesse Martina Hingis.

L e week-end de la Pentecôte a laissé des traces dans les tableaux de Roland Garros. Il fallait s'y attendre.

L'élimination la plus criante fut celle d'Amélie Mauresmo. Battue en trois sets (6-7, 6-1, 6-2) par la prometteuse Nicole Vaidisova, la Française, c'était à craindre, n'a pu éviter les coups de sifflet à sa sortie du court où elle a déclaré qu'il fallait désormais l'attendre ailleurs que sur la terre battue.

Une déclaration en signe de confession qui veut dire que jamais, sans doute, elle ne gagnera les Internationaux de France.

C'était la douzième fois de sa carrière qu'elle venait à la porte d'Auteuil. Jamais, Mauresmo n'y a fait mieux qu'un quart de finale. Une performance qui cadre mal avec son statut de n 1 mondiale et avec sa première victoire en Grand Chelem, à Melbourne, qui semblait lui avoir conféré une autre stature.

Le bloc de granit s'est effondré d'un coup, victime d'une adversaire qui fait pleuvoir les services gagnants du haut de son 1,83 m mais aussi, et surtout, d'une attente sans pareille qui transforme le court central en marmite à pression pour la Française.

« Mon bilan n'est pas extraordinaire mais j'ai mieux vécu le tournoi que les précédents, dit toutefois Mauresmo. La tension a-t-elle été un facteur aujourd'hui ? Je ne suis pas certaine. Il y en a plusieurs qui peuvent expliquer ma défaite, comme mon manque de préparation sur terre à cause de mon angine. Je suis déçue mais je mets les choses en perspective. »

C'est primordial si elle veut briller sur le gazon de Wimbledon qui sied mieux à son jeu et séparé de sa douce France par un tunnel dont elle se persuadera qu'il fait des milliers de kilomètres de long.

Quelques heures avant Mauresmo, Sharapova connut elle aussi les affres de l'élimination. Dans un duel entièrement russe face à Dinara Safina, la belle Maria mena 5-1 dans le set décisif avant de sombrer, elle aussi, mais de manière moins criante que Mauresmo. Safina s'imposa finalement 7-5. « Je me suis amusée sur le court parce qu'au début c'est elle qui dictait le jeu, dira ensuite la soeurette de Marat. À 5-1, je me suis dit que ça suffisait ! »

Nous n'avons trouvé aucune trace de cette insouciance chez Justine Henin et Kim Clijsters, les deux Belges qui continuent décidément de voir la vie en rose à Paris. Vainqueurs respectivement d'Anastasia Myskina et de Daniela Hantuchova, les soeurs ennemies du plat pays ne sont plus qu'à une victoire (la première contre la surprenante Allemande Groenefeld, 14 emondiale ; la seconde contre la dangereuse Hingis, remontée à la 15 eplace à la WTA) de leur affrontement en demi-finale qui interviendrait jeudi.

Mais de cela, il ne faut surtout pas leur en parler. Car pour elles, jeudi, c'est encore loin. Presque dans une autre vie.

Je n'ai pas beaucoup suivi ce tournoi car mon métier me tient loin des télévisions mais le peu que j'ai pu voir m'a déçu.
J'ai trouvé ça dans la presse internet.

RG: Goven: "Du gâchis pour Mauresmo"
08/06/2006 - 14:20

Georges Goven, capitaine de l'équipe de France de Fed Cup, a donné son avis sur le parcours d'Amélie Mauresmo cette année à Roland-Garros: "Il y a un sentiment mitigé concernant Amélie, je trouve qu'il y a un peu de gâchis, a-t-il expliqué ce jeudi au Village. Elle n'a pas réussi à montrer tout ce qu'elle savait faire face à Vaidisova. La construction du jeu sur terre peut parfois lui poser problème. Elle a pourtant gagné plusieurs tournois sur terre, je ne vois donc pas pourquoi elle ne gagnera pas ici à Roland-Garros un jour."

Il a bien de l'espoir je pense ce cher Georges!

Du jour au lendemain on en a plus entendu parler de momo

Eh bien revoici des nouvelles fraîches Greg

Mauresmo sortie par Dechy dès son entrée à Eastbourne ...

REUTERS | 21.06.06 | 15:52


EASTBOURNE, Angleterre (Reuters) - La préparation de la Française Amélie Mauresmo pour Wimbledon a subi un premier contretemps mercredi lorsque la numéro un mondiale a été sortie au deuxième tour du tournoi sur gazon d'Eastbourne par sa compatriote Nathalie Dechy.
Dechy s'est imposée 3-6 6-2 6-3 sur un court balayé par le vent.
Victorieuse de l'Israélienne Shahar Peer au premier tour, Dechy a semblé déstabilisée en début de match avant de prendre confiance.
Mauresmo, victorieuse de l'Open d'Australie en début d'année, a été menée 5-1 dans le dernier set avant de se rebeller.
Mais elle a fini par céder sur la première balle de match de Dechy.

Mauresmo en demi
Auriane Boudin, avec Reuters
Bilan mitigé pour les deux Françaises encore en lice à Wimbledon. Alors qu'Amélie Mauresmo retrouvera la russe Maria Sharapova en demi-finale, Séverine Brémond s'est inclinée face à la belge Justine Henin-Hardenne

Amélie Mauresmo s'est qualifiée mardi pour les demi-finales du tournoi de Wimbledon aux dépens de la Russe Anastasia Myskina 6-1 3-6 6-3. La numéro 1 mondiale, qui n'avait perdu aucun set depuis le début de la compétition, se retrouvera pour la quatrième fois de sa carrière dans le dernier carré à Wimbledon face à une autre Russe, Maria Sharapova, n°4, vainqueur en 2004.

Victoire facile de la Française
Mauresmo a très largement dominé la rencontre, notamment grâce à une bonne qualité de premières balles (65 % de réussite, sept aces). Myskina, qui n'a jamais pleinement confirmé sa victoire à Paris en 2004, a livré dans l'ensemble une faible opposition. La Française lui a pratiquement fait cadeau du deuxième set en commettant soudain de nombreuses fautes et en oubliant de se montrer offensive.

Sa compatriote aura eu moins de chance. Justine Henin-Hardenne a mis fin à l'aventure de la Française Séverine Brémond en la battant en deux sets 6-4 6-4. La joueuse de 26 ans - 129e mondiale - n'avait jamais dépassé le deuxième tour d'un tournoi du Grand Chelem. Elle a tenté d'imposer son jeu offensif à base de service et de montées à la volée, mais la triple championne de Roland-Garros l'a dominée à son propre jeu.

Une demi-finale belgo-belge
Justice Hénin-Hardenne, n°3 rencontrera en demi la belge Kim Clijsters, tête de série n°2, qui s'est imposée 6-4 7-5 en battant la Chinoise Li Na, plus à l'aise sur terre battue.

Retrouvailles musclées entre Mauresmo et Henin CÉCILE SOLER . 6 mois après l’abandon de la Belge devant la Française en finale de l’Open d’Australie, les deux joueuses, qui ne se parlent plus, se disputent aujourd’hui le titre à Wimbledon.


« C’est la plus belle finale que l’on pouvait imaginer pour le tennis féminin, affirme Nathalie Tauziat, dernière Française à avoir joué la finale de Wimbledon, en 1998. Ce sont les deux meilleures joueuses du monde. Et celles qui savent faire le plus de choses. » Ainsi que le souligne Amélie Mauresmo elle-même, l’affiche est belle. Les deux joueuses pratiquent un tennis aux facettes multiples, qui – s’il ne peut être considéré comme semblable – demeure très comparable : deux superbes revers à une main, un style offensif pour Mauresmo et un style qui va vers l’offensive pour Justine Henin-Hardenne.

« C’est avec ma première demi-finale en 2002 que j’ai réalisé que je pouvais bien jouer ici, raconte la tête de série numéro un, quadruple demi-finaliste sur le gazon londonien. Avant, je ne savais pas si je devais monter ou rester au fond. » « Depuis quinze jours, j’ai prouvé que je pouvais faire évoluer mon jeu sur cette surface », affirme quant à elle Justine Henin-Hardenne.

Amélie Mauresmo, l’une des seules véritables spécialistes du gazon chez les femmes, devrait partir légèrement favorite. La Belge mène 5 victoires à 4 dans les confrontations préalables, mais les deux joueuses ne se sont jamais rencontrées sur herbe. Et si Justine Henin- Hardenne – contrairement à Amélie Mauresmo – a déjà joué une finale à Wimbledon, sa défaite contre Venus Williams remonte à tellement longtemps (2001) que la Wallonne ne semble pas en avoir retiré le moindre bénéfice.

Première victoire d’une Française depuis 1925 ?

Sur le plan du tennis, toutes les conditions sont réunies pour que les sujets de Sa Gracieuse Majesté assistent aujourd’hui à un match de grande qualité. Mais dans les coulisses, quelques tensions demeurent. La conclusion inattendue de la finale de l’Open d’Australie, que les deux jeunes femmes ont disputée en janvier dernier, a laissé quelques traces. L’abandon de la Wallonne, malade, alors que Mauresmo dominait le match, a soulevé la controverse.

« C’est un match que j’ai oublié », affirme Justine Henin- Hardenne. « Je pense qu’elle veut sa revanche », avance Amélie Mauresmo. « J’espère que ce qui s’est passé ne pourrira pas le match », poursuit la Belge. « On se parle à peine », avoue pudiquement Amélie Mauresmo. « Le fait de ne plus se parler, c’est la vie, lâche laconiquement la Belge. Je ne prête pas trop attention à cela. »

Mais Amélie Mauresmo a été plus explicite quant à ses griefs, il y a quelques jours sur le site du magazine américain Sport Illustrated. « J’avais beaucoup de respect pour la championne qu’elle est et ce qu’elle a réussi, a confié la première joueuse mondiale à Scott L. Price. Mais ce comportement n’est pas le comportement d’une championne. Sauf si on se blesse, ce n’est pas un comportement correct sur le court. Surtout quand la première chose que vous dites ensuite en conférence de presse, c’est « de toute façon, je ne pouvais pas gagner ce match ».

Si Justine Henin-Hardenne a regretté depuis n’avoir pas fait appel plus tôt à un médecin et affirmé que les douleurs abdominales qu’elle a ressenties à Melbourne étaient « les pires que j’ai jamais eues », sa réputation de battante parle en sa faveur. Mais cet incident a érigé un mur d’incompréhension entre deux joueuses qui entretenaient avant d’excellentes relations.

Amies ou ennemies, c’est en adversaires sportives que la Belge et la Française en découdront aujourd’hui. Si Mauresmo l’emportait, elle serait la première Française depuis Suzanne Lenglen en 1925. « C’est vraiment bizarre qu’aucune Française n’ait gagné depuis », s’étonne Mauresmo.

Tennis à New Haven: Mauresmo s'incline face à Davenport

AFP/Matthew Stockman
NEW HAVEN (AFP) - La N.1 mondiale Amélie Mauresmo, qui effectue son retour à la compétition après une blessure à l'épaule gauche, a été éliminée jeudi en quart de finale du tournoi de tennis de New Haven (Connecticut) par l'Américaine Lindsay Davenport, à trois jours de l'US Open.

La Française a subi la puissance de l'Américaine, qui s'est imposée en 1 heure 25 min (6-4, 7-5). Elle jouait son premier tournoi depuis sa victoire à Wimbledon, en juillet.

"J'ai trouvé que je n'ai pas eu beaucoup de chance sur mon service. Mon tennis était un peu chaotique par moments, assez bon dans d'autres", a déclaré Mauresmo, qui n'a pas battu Davenport depuis mars 2000, à l'issue de la rencontre.

"Je ne m'attendais pas des miracles en participant à ce tournoi. Je me sens à 80% de mes possibilités. Je ne suis pas inquiète pour la semaine prochaine. Je serai prête pour l'US Open", a déclaré Mauresmo.

Tête de série N.1 à l'US Open, Amélie Mauresmo affrontera au premier tour une joueuse issue des qualifications.

Davenport, invaincue contre Mauresmo depuis onze rencontres, a été également éloignée des courts pour cinq mois en raison d'une blessure au dos. Elle a refait son apparition sur les courts le 10 août à Los Angeles. Contre Mauresmo, elle a inscrit 8 aces.

"Si vous m'aviez dit au cours des six derniers mois que je battrais la N.1 mondiale, je ne vous aurais probablement pas cru", a déclaré Davenport, 30 ans, à l'issue de la rencontre.

Davenport affrontera l'Australienne Samantha Stosur, qui a éliminé la Français Marion Bartoli 7-6 (7/2), 6-0. L'autre demi-finale opposera la Belge Justine Henin-Hardenne, facile vainqueur de l'Italienne Mara Santangelo (6-2, 6-3), à la Russe Svetlana Kuznetsova, qui s'est débarrassée de sa compatriote Elena Dementieva (6-3, 3-6, 6-2).

Mauresmo ne se berce pas d'illusions
ZURICH - Une seule victoire en trois participations: le Zurich Open est très loin de porter bonheur à Amélie Mauresmo. Or bien jouer en Suisse, le pays qui est devenu plus que son port d'attache, est un objectif qu'elle caresse naturellement.

"J'ai trop rarement abordé ce tournoi dans les meilleures dispositions, explique le no 1 mondial, qui est exempté de 1er tour au Hallenstadion. Cette année encore, je souffre de l'épaule". La Française ne veut pas tirer un trait sur cette saison 2006, la plus belle de sa carrière avec la conquête de deux titres du Grand Chelem à Melbourne et Wimbledon. Elle est à la lutte avec Justine Henin-Hardenne pour la place de no 1 mondial en fin de saison.

Elle accuse cette semaine un retard de 526 points sur la Belge. Une victoire dimanche en finale lui rapporterait 300 points. "Je ne me berce pas trops d'illusions, reconnaît-elle. Je ne suis pas obsédée par ce classement de la Race même si la première place serait une belle cerise sur le gâteau".

La semaine dernière, Amélie Mauresmo a galvaudé une occasion en or à Moscou avec une défaite impradonnable en quart de finale contre Nicole Vaidisova. La Française avait mené 6-1 5-2 et avait bénéficié de surcroît de trois balles de match contre la Tchèque. "Il y une leçon que je veux retenir de ce match: ne jamais rien lâcher dans les domaines de la concentration et de la rigueur même en fin d'année, et même dans un match qui semble très facile", explique Mauresmo. Une leçon que Roger Federer fait sienne depuis des années !

Romandie News

Amélie Mauresmo contre la possibilité d'une assistance des entraîneurs


ZURICH (AP) - Amélie Mauresmo ne compte pas utiliser la possibilité de faire appel à son entraîneur, offerte par la WTA à Zurich cette semaine.

Ce tournoi en Suisse est l'une des cinq épreuves cette saison où la WTA a décidé de permettre l'assistance des entraîneurs aux joueuses en cours de rencontre.

"Je ne suis pas favorable à ce système", a déclaré la Française, numéro 1 mondiale. "Je pense que l'essence du tennis, historiquement, -mais peut-être suis-je très conservatrice concernant le changement de règles du tennis-, est de trouver seule les clés et les solutions sur le court. C'est ce qui fait la beauté de ce sport. C'est de se dire: "Je suis seule, que puis-je faire?""

La possibilité pour les joueurs de faire appel à leur entraîneur pendant un match a été interdite par la WTA, l'ATP et les tournois du Grand Chelem. Mais pour rendre les matches plus conviviaux, la WTA a décidé de tester ce système d'assistance à Montréal, New Hawen, Stuttgart, Zurich, puis Linz.

Les joueuses peuvent demander un conseil à leur entraîneur une fois par set, ainsi qu'à la fin de chaque manche. Les entraîneurs délivrent leurs conseils lors des changements de côté. Les entraîneurs portent des micros, qui permettent aux télespectateurs d'entendre leurs propos. AP

Tiens ça y est Elle m'étonne plus celle-ci
Comment vous expliquer à l'aide d'un super exemple, gros comme une maison, ce que signifie l'expression "pousser le bouchon" et défendre SA cause tout en donnant l'impression qu'on défend le pote !

Amélie Mauresmo regrette le scandale autour du départ de Johnny Hallyday

Amélie Mauresmo, elle-même installée à Genève, trouve "dommage" le scandale entourant l'exil fiscal en Suisse de Johnny Hallyday, dans une interview publiée samedi par la presse helvétique.
"Je suis très étonnée que le départ de Johnny ait provoqué un tel scandale. C'est dommage", a déclaré la championne de tennis au quotidien genevois Le Temps. "Je ne vois pas en quoi le fait d'habiter un autre pays empêche de se sentir Français".
La Numéro 3 mondiale, citée par Johnny Hallyday lui-même dans une interview à Paris Match au rang des personnalités qui ont choisi l'exil fiscal, assure que, dans son propre cas, "résider à Genève est un choix de vie, bien au-delà des raisons fiscales".
Même si elle reconnaît être parfois "montrée du doigt mais sans plus" pour son départ de l'Hexagone, la championne explique qu'elle apprécie la tranquillité de la vie à Genève où elle peut mener "une existence normale".
"A Paris c'est beaucoup plus compliqué. Je trouve un peu injuste de ne pas considérer ce point de vue", fait-elle valoir.


La honte Vous pensez bien... En plus elle parle dans la presse suisse dites donc
On saura en tout cas de quoi elle aura été championne cette Mauresmo : N°1 mondiale de la manipulation toujours emprunte d'une mauvaise foi indigeste (elle utilise exactement la même méthode lors de ses excuses multiples concernant blessures, déboires et forfaits bidons depuis que je la suis, ça date de 1999 !!!).

En effet c'est vraiment elle dans cette article
La mauvaise foi et les excuses à 2 balles genre c'est un choix de vie ...
Si elle veut être tranquille en France elle peut vivre aïlleurs qu'à Paris, tiens j'ai même une idée pour elle le "rappeur Kamini" qui parle de Marly Gomon qui n'est connu de personnes en Picardie ou même son Bordel je ne pense pas qu'on l'a dérangerait outre mesure dans ses petits village paumé...
Excuse bidon quand tu nous tiens...

Elle est fidèle à elle-même on ne peut pas lui en vouloir!

Mauresmo a fait taire les critiques
BILAN 2006 : La Française a frappé très fort, cette année, en remportant deux titres du Grand Chelem
Avec les fêtes de fin d’année, arrive la période des bilans. 2006 n’échappe pas à la règle. Et pour revenir sur une saison riche en belles performances, nous avons choisi de mettre un coup de projecteur sur quelques-unes des stars tricolores. Aujourd’hui, la joueuse de tennis Amélie Mauresmo.

PAR DAVID DELPORTE
sports@lavoixdunord.fr

Installée aux plus hautes places de la hiérarchie mondiale depuis quelques années, Amélie Mauresmo n’a, pourtant, jamais été épargnée par les critiques, en raison essentiellement de son incapacité à aller jusqu’au bout dans l’un des tournois majeurs. « Elle n’y arrivera jamais », « elle n’a pas le mental des très grandes »… Les médias n’ont pas toujours été tendres avec la native de Saint-Germain-en-Laye, qui a longtemps défendu les couleurs du club de Méru en Picardie.



Pendant de longs mois, la jeune femme de vingt-sept ans, a donc encaissé les coups, parfois dans la douleur, mais sans jamais broncher, sachant, sans doute, au plus profond d’elle-même, que son heure finirait par sonner. Une patience enfin récompensée au cours d’une année 2006 où Amélie Mauresmo a su faire taire ses détracteurs en remportant quatre titres, dont deux du Grand Chelem, en occupant pendant plus de sept mois la place de numéro un mondiale et en se hissant, pour finir, en finale du Masters.

Déclic au Masters 2005

Le déclic ? Il s’est opéré, selon elle, lors de sa victoire au Masters de Los Angeles en fin d’année 2005. Surfant sur la vague de ce succès, Amélie Mauresmo n’a pas traîné à convertir l’essai en triomphant à Melbourne lors de l’Open d’Australie. Mais il était visiblement écrit que rien ne serait simple pour la protégée de Loïc Courteau. Ce premier titre en Grand Chelem n’a, en effet, pas convaincu tout le monde, la Française ayant bénéficié de plusieurs abandons et notamment de ceux des deux Belges, Kim Clijsters et Justine Henin-Hardenne, respectivement en demi-finale et en finale.


« Je me suis rendu compte bien plus tard que les gens et surtout les médias n’avaient pas du tout vécu ce titre de la même manière que moi , explique-t-elle. À leurs yeux, il fallait encore que je prouve que je pouvais gagner une balle de match pour conquérir une couronne du Grand Chelem. Alors que pour moi ce n’était pas du tout ça puisque je l’avais déjà fait au Masters. Pour moi, c’était acquis. »

Henin-Hardenne, meilleure ennemie

De plus en plus attendue au tournant, Amélie Mauresmo connut, toutefois, une petite sortie de route en se faisant éliminer dès les huitièmes de finale de Roland-Garros. Là où certains évoquèrent encore ses difficultés à gérer la pression, la Française balaya ses arguments d’un de ses revers dont elle a le secret : « Je suis tombée contre Vaidisova qui a très bien joué, alors que moi je n’étais pas tout à fait prête, précise-t-elle. Et puis, il faut reconnaître que la terre battue est sans doute la surface qui me convient le moins bien. Mais j’étais sereine, je n’avais jamais aussi bien vécu un Roland-Garros. Alors oui, gagner un jour à Paris, ce serait extraordinaire. »


À défaut de triompher devant son public, elle connut, finalement, sa véritable heure de gloire, quelques semaines plus tard, dans le temple du tennis, à Wimbledon, en dominant, cette fois à la régulière, sa grande rivale, Justine Henin-Hardenne en finale. Comble de malchance, ce coup d’éclat n’a pas eu l’écho qu’il méritait en raison de la présence ce même week-end de l’équipe de France de football en finale de la Coupe du monde. Mais qu’importe, Amélie Mauresmo a vaincu ses démons et peut désormais avancer sereinement : « 2006 a été l’année de l’accomplissement, la récompense de beaucoup d’abnégation, de persévérance. Il y a eu, dans le passé, des moments de doutes, des périodes difficiles pour en arriver, finalement, à connaître toutes ces émotions, conclut-elle. C’est une grande fierté ! »

www.lavoixdessports.com

http://www.latribune.fr/info/Open-d-Australie--Mauresmo-reve-d-un-nouveau-succes-~-OFRSP-SPORT-TENNIS-MAURESMO-20070108TXT-$Db=News/News.nsf

Mauresmo rêve d'un nouveau succès en Australie..

Pas trop compliqué pour Mauresmo (RDS)

Mercredi 17 janvier 2007 - MELBOURNE (AFP et AP) - Amélie Mauresmo, tenante du titre, s'est tranquillement qualifiée pour le troisième tour des Internationaux d'Australie en battant la Russe Olga Poutchkova en deux sets, 6-2, 6-2, mercredi à Melbourne.

"C'était bien mieux que mon premier match, j'ai mieux servi, j'ai bien bougé aussi, j'étais très sérieuse dans ce que je faisais, c'était bien", a commenté la Française, tête de série N.2, qui affrontera la Tchèque Eva Birnerova au prochain tour.

Ce sera la deuxième adversaire de suite qu'elle ne connaît pas. Mais "Loïc (Courteau, son entraîneur) va encore essayer d'aller chercher quelques infos", a-t-elle souligné.

Mauresmo est une nouvelle fois apparue très sereine sur le court où elle a mis fin l'année dernière à une longue attente, en remportant son premier titre du Grand Chelem, à son 32e essai.

Elle n'a été perturbée ni pas la petite interruption causée par la pluie au tout début du match, ni par un incident très curieux sur sa première balle de set, où l'arbitrage vidéo a donné "bonne" une balle de son adversaire qui, sur l'écran, semblait clairement "faute".

"C'était très étrange, personne n'a vraiment compris. Sur l'écran elle est faute, mais l'ordinateur marque "bonne", je n'avais jamais vu ça", a-t-elle commenté après cet incident qui a fait beaucoup rire le public.

Le 3e joueuse mondiale, 27 ans, s'offre en tous cas une mise en route moins laborieuse que l'année dernière où, avant de jouer le meilleur tennis à la fin de la quinzaine, elle avait souffert au début.

"C'est vrai, mais ça ne veut rien dire, au fil des ans je me suis rendu compte qu'il n'y avait pas de règle, a-t-elle affirmé. Des fois, on commence doucement et on finit très fort, comme ici l'année dernière. Des fois c'est le contraire."

Australie Les réactions :
L'Equipe.fr

Amélie Mauresmo : « Je ne suis jamais rentrée dans le tournoi comme je l'aurais aimé. Il y a eu plein de choses différentes par rapport à l'année dernière, en termes de préparation, de temps passé sur le court avant, de sets d'entraînements disputés. Alors, il n'y a pas de miracle, même si on espère toujours qu'au fil des matches, cela peut s'améliorer... En plus, elle (Lucie Safarova, ndlr) a fait un très bon match, elle a été agressive, elle a peu donné par rapport à ses prises de risque des deux côtés, elle m'a bien gênée au service, alors que moi je n'ai pas été très efficace de ce côté-là. Je suis restée dans le match, mais avec de la frustration qui, certainement, enlève un peu de lucidité. Perdre en Grand Chelem, dans un tournoi qui m'a toujours plutôt réussi, évidemment c'est décevant, mais, encore une fois, il y a des raisons, des explications. Je ne trouvais pas que mon jeu s'était mis en place, et surtout pas après le troisième tour... J'avoue que sur le court, je ne pensais pas trop à ce qui s'était passé l'année dernière, la défense du titre, je cherchais surtout à trouver des solutions dans le moment. Et maintenant ? Il faut bosser ! Mais il faut que le corps le permette et, depuis plusieurs mois maintenant, je n'ai pas la sensation de respecter le plan que l'on se fixe (avec son équipe, ndlr). On sait ce qu'il y a à faire, encore faut-il être capable de le faire. »

Maximus a écrit:

Australie Les réactions :
L'Equipe.fr

Amélie Mauresmo : « Je ne suis jamais rentrée dans le tournoi comme je l'aurais aimé. Il y a eu plein de choses différentes par rapport à l'année dernière, en termes de préparation, de temps passé sur le court avant, de sets d'entraînements disputés. Alors, il n'y a pas de miracle, même si on espère toujours qu'au fil des matches, cela peut s'améliorer... En plus, elle (Lucie Safarova, ndlr) a fait un très bon match, elle a été agressive, elle a peu donné par rapport à ses prises de risque des deux côtés, elle m'a bien gênée au service, alors que moi je n'ai pas été très efficace de ce côté-là. Je suis restée dans le match, mais avec de la frustration qui, certainement, enlève un peu de lucidité. Perdre en Grand Chelem, dans un tournoi qui m'a toujours plutôt réussi, évidemment c'est décevant, mais, encore une fois, il y a des raisons, des explications. Je ne trouvais pas que mon jeu s'était mis en place, et surtout pas après le troisième tour... J'avoue que sur le court, je ne pensais pas trop à ce qui s'était passé l'année dernière, la défense du titre, je cherchais surtout à trouver des solutions dans le moment. Et maintenant ? Il faut bosser ! Mais il faut que le corps le permette et, depuis plusieurs mois maintenant, je n'ai pas la sensation de respecter le plan que l'on se fixe (avec son équipe, ndlr). On sait ce qu'il y a à faire, encore faut-il être capable de le faire. »

Euh vive les excuses mais çà sonne comme d'hab' selon moi c'est à dire çà sonne creux et faux...
Il faudrait qu'a l'avenir elle trouve un autre mode de communication pour ses excuses etc etc...

C'est regrettable en effet Padmé... C'était un titre du Grand Chelem à defendre à tout prix, et l'explication se résume à "j'étais pas prête"... Triste vraiment